Folle du Cul - Ch. 03 - Histoires de Sexe

Folle du Cul - Ch. 03

- Ecarte un peu moins les jambes!

Je suis nue, sinon avec ce collier qui me griffe, assise sur le bord de la table, les jambes sur l'accoudoir du fauteuil où est installé Antoine. Il triture longuement mon sexe, fermant mes grandes lèvres en alignant la fente qui en découle, avec beaucoup d'application. Mon clitoris est décalotté au-dessus de la fente, rouge vif, tellement sensible. Ses gestes sur ma vulve m'excitent et je coule énormément, ce qui est loin d'être mon habitude. Il m'en fait la remarque, me disant que j'ai besoin d'être traitée en salope et qu'il avait été bien trop respectueux avec moi quand nous sommes sortis ensemble. Je ne peux lui donner tort, je préfère ne pas répondre. Il prend des sopalin, me sèche puis me rempli le vagin avec pour ne plus être dérangé, c'est super désagréable.

Quand il semble satisfait du résultat, il maintient le haut des grandes lèvres entre l'index et le majeur de sa main gauche et attrape un objet en plastique blanc, à la forme inconnue genre sauterelle, que je n'avais pas remarqué. Je ne me méfie guère tandis qu'il applique un bout entre ses deux doigts, de part et d'autre de la fente ainsi créée. Je sursaute quand il appuie, la douleur est vive, comme une piqure de guêpe XXL. Hallucinée je vois mes deux lèvres transpercées par une agrafe blanche qui maintient serré mes chairs.

- Mais qu'est-ce que tu fais, tu es dingue?

- Tu es une folle du cul, n'est-ce pas? Alors je te nullifie, seul ton cul est intéressant, ton ...

... sexe ne sert à rien, je le ferme. Et sois heureux, comme nous n'avons plus que six jours, j'ai mis des agrafes, pas de la colle ultra-forte!

- Oh mon Dieu, c'est pour combien de temps?

- Sans doute la fin de ta semaine

Il reprend son manège, je suis plus fébrile sachant à quelle douleur m'attendre, même si la piqure se calme très vite. Les agrafes s'enchaînent, la sensation va décroissant en s'éloignant de mon bouton magique, j'ai la tête qui tourne, c'est une vision hallucinante, mon sexe barré par de petites lignes blanches, la cicatrice est à peine visible, c'est une sensation incroyable. Avant de poser les dernières, Antoine me vide le vagin du papier, complètement trempé, je suis honteuse de tant mouiller, il se moque de moi, l'inaccessible Chloée. Les deux dernières agrafes posées, j'en compte dix au total, et il ne reste qu'un minuscule orifice par lequel pas même mon petit doigt ne peut passer.

Antoine me fait descendre, marcher debout puis à quatre pattes, cela ne tire que si j'écarte les jambes sinon ce n'est pas sensible. Je passe ma main, c'est tellement étrange, mon clitoris ressort comme jamais, Antoine me dit qu'il aimerait découper le capuchon au scalpel pour qu'il soit toujours stimulé! J'imagine ma vie à chercher à jouir à chaque instant pour me calmer! Je regarde Antoine d'un autre œil, je ne l'imaginais pas avec toutes ces pensées, à moins que tous les hommes ne soient pareils?

- Allez viens, on va te changer de péché mignon

Devant sa ...