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Folle du Cul - Ch. 03
Datte: 24/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: meo75, Source: Literotica
... caméra, Antoine filme et photographie tout, il aura tout ce qu'il veut pour que je sois bien obéissante, je retire le gode métallique, un peu à regret. Il est chaud, c'est agréable, j'aime le tenir dans mes mains. Il en choisit un autre, métallique aussi, mais d'un tout autre acabit : s'il est de huit centimètres également à la partie resserrée, il est plein, plus long et un peu plus large. Surtout son poids est redoutable : trois kilos. A Quatre pattes ou allongée, c'est assez pénible, il appuie sur le rectum, mais debout, assise et, pire, accroupie, c'est une torture de chaque instant : son poids appuie sur l'anus et mon périnée, l'ouvrant de force, cela devient très vite douloureux. Antoine le sait, je le lui avais expliqué dans nos échanges. De sa valise il me sort une robe noire pour la soirée. Elle est dans un tissu stretch, scintillant, moule joliment ma poitrine, mais, d'une part s'arrête juste sous mon sexe, d'autre part est transparente tout le long sur les côtés, illustrant que je suis parfaitement nue dessous. Vue sa longueur je suppose que nous n'allons pas à l'Opéra. Je monte sur des stilettos de douze centimètres, je crois que je fais vraiment salope, je suis certaine qu'à chaque pas mon gode se voit, le métal scintillant sous la lumière : Antoine me le confirme en prenant une vidéo, je le supplie de ne pas me sortir ainsi, au moins de mettre un manteau même s'il fait chaud. Son sourire vaut toutes les réponses, je vais boire jusqu'au bout son gage. Sa ...
... détermination m'excite, je réalise, avec horreur, que j'aurais détesté qu'il cède! Je respire mieux une fois que nous sommes entrés dans la boîte de nuit, tellement se promener dans la rue a été une épreuve. Entre mon sexe fermé et mon cul visible de tous ou presque, mes douze centimètres de talon relevant ma microrobe, je n'ai jamais été aussi honteuse et humiliée, d'autant que j'ai toujours mon collier étrangleur auquel je me suis déjà habituée étrangement. Je m'installe par terre aux pieds d'Antoine, comme beaucoup d'autres femmes soumises et quelques hommes soumis dans ce club SM. Je place un pied sous mon cul pour soulager le poids du plug, sans qu'Antoine ne le sache. L'ambiance est feutrée, j'entends des gémissements, des coups suivis de cris, c'est une atmosphère un peu stressante je trouve! Antoine s'absente faire un tour, me laissant sous le regard concupiscent de bien des Maîtres tant je suis beaucoup plus jeune que les soumises présentes et sans aucun doute, plus appétissante en toute modestie. Je me demande si elles sont aussi humiliées que moi sous les quelques vêtements qu'elles portent, je ne sais pas trop les usages. Mon collier est de loin le plus sauvage! La musique s'interrompt, une vente aux esclaves est prévue comme clou de la soirée. Horrifiée, je découvre qu'Antoine a décidé de me vendre : il me rassure en me disant que c'est juste un jeu, mais je prends cela au premier degré, je me sens une marchandise convoitée par plusieurs dizaines de mecs, pas ...