1. Épidémie chez les dames 3


    Datte: 24/12/2025, Catégories: #historique, #adultère, extracon, enceinte, vengeance, 69, fgode, double, Partouze / Groupe fdanus, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... où il entre. En plus, cela ne s’arrête pas là. En effet un des messieurs témoins de la scène est fort émoustillé. Tout à l’heure, alors que le phénomène passait par la voie normale, il a usé du fondement de la belle. Il trouve que, puisque maintenant l’autre l’encule, et de belles manières, il va la baiser. Sitôt pensé sitôt fait. De ce moment, cette chère marquise perd un peu la notion des choses. Au point qu’elle ne saurait dire exactement combien d’hommes profitent de ses charmes. Elle devient un jouet. Un jouet consentant certes, mais un jouet. Quand l’un se vide, il est remplacé illico, quel que soit le trou devenu inoccupé. Certains messieurs partent, mais d’autres arrivent pour les remplacer. C’est devenu une attraction, même les filles viennent voir. Ces demoiselles sont assez admiratives et commentent à voix basses les prestations de cette occasionnelle. Pendant une accalmie, l’une d’elles se risque même à lui enfiler une main dans la chatte et l’autre dans le cul.
    
    Le milieu de nuit est largement passé, quand la mère maquerelle finit par craindre un accident, qui pourrait lui causer quelques ennuis. Surtout que la pouffiasse lui a dit que sa sœur était au courant de sa venue. Elle met fin à la joute et ordonne à deux filles d’aider la « vedette » de la soirée à se laver, se vêtir, puis de la mettre dehors.
    
    L’eau fraîche ramène Antoinette-Marie à la réalité. Elle a l’impression d’avoir été piétinée par une charge de la compagnie housards de Catherine. Une fois ...
    ... rhabillée, elle va réclamer son dû. Une nouvelle discussion s’engage. Elle trouve que ce qui lui est proposé par la patronne est bien modique en rapport à sa prestation. L’autre ouvre plus sa bourse. Un peu pour éviter un esclandre, mais surtout dans l’espoir qu’elle revienne. Une comme ça, il ne faut pas qu’elle soit tentée d’aller ailleurs.
    
    — Je vous remercie.
    — Tu sais, avec les capacités que tu as, tu pourrais faire rapidement ton beurre. Ne veux-tu pas demeurer ?
    — Je ne puis. Je suis attendue.
    — Pas maintenant, bien sûr, mais plus tard.
    — Mon mari ne voudra pas que je demeure en permanence ici.
    — Je comprends. Mais tu peux ne venir qu’un ou deux soirs par semaine.
    — Il faut d’abord que je lui en parle.
    — S’il a deux sous de jugeote, il devrait sauter sur l’occasion pour ne pas se contenter de rembourser ses dettes, mais améliorer sa situation. Au revoir et à bientôt, j’espère.
    — Au revoir, Madame.
    
    La marquise retourne chez son amie, mettant au point une histoire vraisemblable pour expliquer son retour presque à l’aube. Elle a bien du mal à mettre un pied devant l’autre, tant son cul que son con lui rappellent ce qu’ils ont enduré durant les quatorze dernières heures.
    
    Elle met plusieurs jours à se remettre. Suzette est fort étonnée de la brusque chasteté de sa patronne.
    
    À force de se faire sauter, Madame la marquise de La Tour Duchêne se retrouve en cloque. Elle n’est aucunement sûre que le fruit de ses entrailles ait pour origine son mari. D’ailleurs, ...
«12...101112...21»