1. Épidémie chez les dames 3


    Datte: 24/12/2025, Catégories: #historique, #adultère, extracon, enceinte, vengeance, 69, fgode, double, Partouze / Groupe fdanus, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    Antoinette-Marie réduit le nombre de ses aventures, après au début de sa vengeance, jusqu’à 15 dans la semaine, et même un pic à cinq dans la journée. Elle se limite à deux ou trois la semaine. Plusieurs facteurs l’y ont encouragée. D’une part, cela finit par être fatigant, car certaines joutes peuvent durer, d’autant qu’il est arrivé que deux fouteurs s’occupent de sa petite personne en même temps, alors évidemment c’est plus long. D’autre part, elle ne veut pas avoir d’amants trop réguliers qui se croiraient avoir des droits sur elle. Aussi se contente-t-elle de les voir de manière irrégulière. Avec plus d’une cinquantaine de galants, cela ne pose pas trop de problème. De temps en temps, il peut y avoir des exceptions.
    
    Ses amis l’ont prévenue que cela commençait à jaser et le Dauphin au détour d’une conversation, lui a dit :
    
    — Je comprends que l’on puisse être déçu par des personnes qui vous sont proches et que l’on veuille s’en revancher. Toutefois, il faut savoir mesure garder et ne point trop en faire. Un poquito ma non troppo.
    
    Elle entend le message et cesse ses rendez-vous avec des personnages trop en vue. De toute manière, elle évitait déjà les hommes trop proches de la famille royale ou du pouvoir. Le prince est visiblement au courant de ses aventures galantes. Il n’a pas l’air de les condamner, mais demande plus de retenue pour éviter un éventuel scandale comme la cour en est si friande.
    
    Le plus drôle, c’est que son ...
    ... cocu de mari ne se doute de rien. Il doit être, lui-même, trop occupé à chasser, pour s’intéresser à autre chose que son gibier en jupon.
    
    Elle avait moult apprécié son trio avec Suzette et Pierre. Peu après, elle prend cette dernière comme camériste et la fait coucher dans sa chambre. Cela a en outre l’avantage d’en tenir son époux éloigné.
    
    Bien sûr, malgré la multiplicité de ses aventures, Madame la Marquise continue d’assurer son devoir conjugal au moins deux fois la semaine. Cela n’est point corvée. Il baise bien. Mais c’est elle qui en a l’initiative. Lorsqu’il veut venir, souvent, il trouve porte close. Antoinette-Marie faisant dire par Suzette qu’elle se sent souffrante.
    
    Ces indispositions relèvent, hors la période de ses règles de deux ordres. Soit elle sort des bras d’un amant et se sent un peu lasse, soit elle s’ébat avec la domesticité. Avec sa camériste, elle se gougnotte d’abondance. Elles partagent le même lit. Celui destiné à Suzette étant rarement occupé. Un des plaisirs de la marquise est de se coiffer avec l’aide de sa camériste. Cette dernière ne manie ni peigne ni brosse. Elle est à genoux sous la coiffeuse et s’occupe du minou de sa patronne. Rien ne les interrompt, même quand des visiteurs s’annoncent, Antoinette-Marie n’hésitant pas à faire entrer certains d’entre eux. Cela ajoute du piment au jeu.
    
    Elle reçoit même un jour ses trois compagnes de captivité Suzette entre ses cuisses. Elle est surprise quand trois doigts s’enfoncent d’un coup dans ...
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