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Une jambe sous la table
Datte: 24/12/2025, Catégories: #domination, ffh, jeunes, amour, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, chaussures, massage, Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe
... proposition à te faire. — Je vous écoute. — Accepterais-tu d’habiter ici, dans ce château, avec nous ? Il serait très aisé pour nous de faire venir un valet supplémentaire qui nous serait dédié, à moi et à ma cousine, ça ne serait pas un problème. — Vous me demandez d’être votre servant attitré ? Elles se regardèrent avec un sourire complice. — Ce serait une sorte de service un peu spécial… — Que voulez-vous dire ? — Eh bien, recommencer tout ce que tu viens de faire ce soir. Nous irions plus loin, bien entendu. Lona reprit : — Mais surtout, cela serait définitif… — Et cette proposition serait uniquement valable maintenant. Nous ne pourrions pas te laisser partir pour y réfléchir, au risque d’ébruiter une telle demande. — Mais ensuite, en cas de réponse affirmative de ta part, tu serais évidemment engagé au secret le plus absolu sur tout ceci. Je les regardai, interloqué, ne sachant que dire, ayant du mal à croire à ma chance, et incapable d’en percevoir toutes les implications. Je pris un moment pour y réfléchir, et repensai à la manière dont j’avais dû trimer, enfant, pour survivre. Je contemplai ces deux femmes magnifiques. J’aurais pu mourir pour elles. Je préférais mille fois être à leur service que toute autre tâche. En réalité, toute mon existence m’avait ...
... mené jusqu’à ce point. La réponse était évidente. — J’accepte. Elles se regardèrent, ravies. Nora ouvrit l’un des tiroirs de sa commode, en sortit un collier de cuir fin qu’elle plaça autour de mon cou. En le sentant sur ma peau, je me rappelai que cette matière était davantage utilisée pour les objets que pour l’habillement. Étais-je désormais la propriété de ces divines jeunes femmes ? Mais cela ne me perturba pas outre mesure. Elle ferma le collier. Avais-je perdu mon âme pendant cette soirée ? Ou bien l’avais-je gagnée ? À vrai dire, je ne l’avais jamais vraiment possédée. J’étais certes toujours un serviteur, mais au moins, étais-je dorénavant au poste qui me plaisait le mieux. Et j’espérais qu’un jour, je ne sois pas castré comme un eunuque. Lorsqu’elle eut fini ce qui semblait tenir lieu de baptême, elle posa ses mains autour de mon visage, m’embrassa le front comme on le ferait pour un petit chien et me regarda d’un peu plus loin en s’écriant : — Parfait ! — Ça lui va bien, rajouta sa cousine. Je crois qu’il l’a mérité ! — Guillaumin, à partir de maintenant, tu nous appartiens officiellement, à ma cousine et à moi, déclara Nora. J’avais ordre de ne jamais l’enlever, pour bien me rappeler l’obéissance que je devais à mes maîtresses. Et ma nouvelle vie commença.