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Une jambe sous la table
Datte: 24/12/2025, Catégories: #domination, ffh, jeunes, amour, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, chaussures, massage, Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe
... dirigeai avec célérité vers sa cousine. — Très bien, mademoiselle. Pour votre patience, vous aurez un supplément. — Whaou ! J’ai de la chance ! Elle leva sa robe, retira sa culotte, et je sus immédiatement ce qu’elle voulait. J’avais l’autorisation d’aller plus loin. Et cela me plaisait tout à fait. Pendant que j’explorais ses dessous, je fus surpris de l’agréable parfum qui s’en dégageait. Puis je me mis au travail. Du fond de ma grotte, j’entendis la fille de la comtesse gémir de plaisir. Pendant ce temps, mes mains erraient sur les fibres glissantes de ses collants. Ma langue s’y attarda après être redescendue doucement de son nid d’amour. Je me dévouais avec ferveur et zèle. J’étais à la place que je désirais depuis tant d’années ! Tout mon être n’était que vibration à cet instant. Je n’étais pas Guillaumin, mais un homme au service de ces femmes. À mesure que je les honorais, ma joie à le vivre n’en était que plus grande. Pendant la soirée, les deux filles changèrent à plusieurs reprises de tenues, de collants et de culottes afin de varier les plaisirs. Ma préférée fut une robe dont le haut à peine opacifié recouvrait le bout des seins, et laissait découvertes les épaules et la nuque. Nora et Lona m’échangèrent de nombreuses fois, et lorsque je me fatiguais, l’écuyer de ces dames avait droit à un baiser. Chaque fois que ces dames désiraient enfiler un habit différent, c’était moi, bien sûr, qui leur retirais délicatement leurs bas, avec mes mains ou ...
... mes dents, toujours ravis de pouvoir rendre un tel service à mes deux nouvelles maîtresses. Parfois, je m’emballais jusqu’à agripper les fesses des demoiselles, ou mordiller leur cuisse. Elles me calmaient alors avec une légère tape sur la tête, sans toutefois être indifférentes à ma fougue. Je pus ainsi déposer un baiser sur leurs seins. Mesdemoiselles n’étaient pas contre, si c’était fait dans les règles de l’art. Pour cela, il fallait d’abord approcher du bassin, après avoir fait les hommages rituels, puis avec des baisers tendres et délicats, avancer jusqu’aux collines. Et là, embrasser la forme rebondissante. Si la propriétaire le permettait, en déposer un autre, en approchant d’un autre côté, puis avec la main, recouvrir la rondeur, très doucement, pour la réchauffer. Une voix en moi me disait que ce moment de bonheur ne serait pas éternel. Aussi me préparais-je aux adieux. Tard dans la nuit, alors que je m’apprêtais à quitter la chambre, Lona me lança : — Eh bien, ma cousine n’a pas menti ! Tu aimes bien lécher les femmes, et tu fais cela bien ! Nora se fit l’écho derrière elle. — Et j’ai toujours trouvé que ses robes enveloppaient mon corps avec sensualité, comme si j’avais tes mains sur moi. — Chère cousine, nous saurions amplement utiliser ses talents ! — À n’en pas douter ! — Ne pensez-vous pas que nous pourrions… ? — Oh, si ! Je n’osais pas vous le suggérer, mais oui ! Nora se tourna alors vers moi, les mains jointes : — Nous aurions une ...