1. Une jambe sous la table


    Datte: 24/12/2025, Catégories: #domination, ffh, jeunes, amour, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, chaussures, massage, Auteur: SulfurousGuy, Source: Revebebe

    Je m’appelle Guillaumin. Mes parents travaillant pour certains des nobles de notre royaume, j’ai ainsi fréquemment eu l’occasion de côtoyer leurs bambins. J’enviais ces derniers lorsqu’ils jouaient pendant que je trimais. Il m’arrivait de vouloir être à leur place, ou du moins parmi eux, de goûter quelque peu à cette exaltation au-dessus de mes basses contingences. Car, voyez-vous, dès qu’un enfant roturier était en âge de porter un seau d’eau ou un sac, on le mettait à la tâche. En dehors du service aux patriciens, ma vie n’était guère reluisante, je vous passe donc les détails.
    
    Alors vous l’aurez compris, à mes yeux, la noblesse représentait le firmament, le paradis que je convoitais. Je considérais les vierges qui y habitaient comme des déesses, notamment l’une d’elles, la plus élégante de toutes : Nora, une vraie petite princesse qui savait encourager les autres à lui faire plaisir.
    
    À plusieurs reprises, j’avais tenté de gagner ses faveurs, mais son charme m’avait toujours paru inaccessible, et elle ne me donnait l’importance que d’un serviteur. À mesure qu’elle grandissait, la belle devint une femme. Elles mettaient de plus en plus en valeur ses attributs, et notamment ses gracieuses et longues jambes. J’en rêvais souvent et souhaitais de tout mon cœur pouvoir un jour les embrasser. Mais pendant une époque interminable, j’en fus tenu loin. Cependant, je n’avais pas perdu espoir et cela me permit d’endurer toutes ces années.
    
    L’évènement que je vais narrer ici ...
    ... se déroula autour de mes vingt ans. En tant que membre de la suite, nous avions été, mes parents et moi, invités à l’anniversaire de la tante de Nora. Depuis quelques années, je pratiquais le même métier que mon père : couturier. Cette profession était moins fatigante que les autres, et surtout lucrative, quand il s’agissait de l’habillage des nobles. J’étais fier de participer à la conception des merveilles que les jeunes aristocrates portaient. J’aimais passer mes doigts sur le satin. Cela me faisait venir des frissons. J’imaginais que Nora glisse son corps à l’intérieur de mes créations, comme elle l’aurait fait entre mes mains ouvertes.
    
    Le matin de la célébration, nous nous rendîmes à pied au château, depuis le village où nous habitions. Quand je vis Nora, dans la brume légère, mes joues s’enflammèrent devant ces délicats cheveux châtains et un peu ondulés qui flottaient autour d’un visage aux traits parfaits, rehaussés d’une pointe de mascara et de rouge à lèvres. Elle arborait de jolies ballerines noires et brillantes ainsi qu’une longue robe de tulle pourpre. Pourquoi avait-il fallu qu’elle choisisse précisément ce modèle-là, que j’eusse participé à créer ? À mes yeux, c’était comme si mes propres mains l’avaient revêtue elles-mêmes de cette tenue somptueuse.
    
    Je notais au passage les ravissantes formes arrondies de ses seins sous son col en v. J’aurais tant voulu poser mes doigts sur ces collines douces. Mais je ne pus que faire la courbette, comme le reste de sa ...
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