1. Comment j’en suis arrivé la ?


    Datte: 19/12/2025, Catégories: init, #domination, fh, hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, odeurs, uro, sm, donjon, yeuxbandés, Auteur: slowmoninja, Source: Revebebe

    ... pieds.
    
    Au moment précis où je vais prononcer un mot, je l’entends porter un doigt à ses lèvres, souffler délicatement dessus pour me signifier que je ne dois rien dire. Je suis aveugle, à genoux, je dois aussi rester muet. La tension monte encore d’un cran de mon côté, je suis à fleur de peau. Je suis à sa merci. Elle doit être à un mètre de moi maintenant. Je sens sa présence. Elle me domine de toute sa hauteur. Je suis à ses pieds, ma tête à hauteur de son sexe. La scène est tellement irréelle que mon cerveau ne sait plus où il est. Il déconnecte et c’est l’instinct animal qui prend le dessus. Mon sexe s’est dressé d’un coup, prêt à exploser. Elle ne m’a même pas encore effleuré. C’est plus intense encore que tout ce que je n’ai jamais imaginé.
    
    Je sens une main qui se pose sur l’arrière de ma tête et me déséquilibre vers l’avant. Mon visage est plaqué sur son entrejambe. Ses cuisses sont nues. Je perçois un morceau de tissu de ce qui doit être sa culotte. Mes lèvres vont pour embrasser cette membrane de tissu qui nous sépare. Je ressens la douceur du satin, imprégné de l’odeur de son sexe. Elle me repousse. Je veux y retourner.
    
    — Non !
    
    La voix est douce et ferme à la fois.
    
    — C’est moi qui décide, ici.
    
    La main m’attire à nouveau vers ce corps et plaque mon visage sur son sexe. J’ai le nez enfoui dans sa petite culotte. Son odeur est enivrante. Je veux m’y perdre. Mes lèvres vont à la rencontre de ce morceau de tissu et à nouveau elle me rejette.
    
    — ...
    ... T’ai-je demandé d’embrasser mon sexe ? Non.
    
    Elle me plaque à nouveau sur son entrejambe et me demande si j’aime cette odeur.
    
    — Viens sentir l’odeur de mon sexe. Alors, tu en penses quoi ?
    
    La question n’appelle pas de réponse. Non. J’ai les narines noyées dans les plis de ce bout de tissu, soie, coton, je n’en sais rien, mais c’est le plus doux du monde. Son odeur est sublime, il vient s’incruster dans ma tête. J’ai toujours aimé l’odeur d’un sexe féminin. Non pas l’odeur de savon d’un sexe qui sort de la douche ni celle d’un sexe négligé. Je parle de l’odeur naturelle du sexe d’une femme à la fin d’une journée. Cette odeur délicate et pénétrante en même temps. Celle-là, je pourrais littéralement la boire. M’y baigner. Je suis aux anges. Je flotte dans un univers parallèle.
    
    — Tu sais, j’ai longuement pensé aux prochaines histoires que nous allions pouvoir écrire ensemble. Aujourd’hui, tu vas te contenter de renifler et d’embrasser mon sexe au travers de ma petite culotte ; non, pas tout de suite.
    
    Elle me rejette à nouveau.
    
    — Quand je te le dirais. Et je te réserve une surprise pour te remercier de ton courage. Après tout, ce n’est pas facile de venir se livrer nu ici comme un ver ; et si tu es sage, quand tu auras fini de sucer ma petite culotte, je te branlerai et tu pourras venir dans ma main.
    
    De son pied, elle me repousse en arrière.
    
    — Tu bandes comme un âne. C’est l’odeur de ma culotte qui t’excite ? Je sais que tu aimes ça.
    
    Son pied vient caresser ...