1. Comment j’en suis arrivé la ?


    Datte: 19/12/2025, Catégories: init, #domination, fh, hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, odeurs, uro, sm, donjon, yeuxbandés, Auteur: slowmoninja, Source: Revebebe

    ... sont interminables, impossibilité de me concentrer. Je regarde ma montre toutes les dix minutes. L’impression que les collègues me regardent étrangement. La moindre notification devient une urgence et une déception, pas de message. Pas de message de sa part, pas d’instruction. J’en viens à douter de la réalité de cette proposition, de cette conversation. Pourtant, les messages sont toujours là ; elle existe vraiment, elle continue à publier quelques messages sur d’autres sujets. Je m’interdis de la recontacter. Je ne veux pas la brusquer. Au fond de moi, je sais que je veux continuer à y croire et que je ne veux pas lui montrer que je doute. Alors je deviens fou. Je tourne en rond. Je prétexte n’importe quoi et me barre du boulot en plein après-midi. J’arrive chez moi. J’ai besoin d’évacuer cette pression, cette excitation. Je rebranche mon ordinateur et me rends sur le premier site de cul que je trouve. Je me caresse, je me branle, je repense à nos échanges. Je recherche son post initial et relis son texte. Je tiens mon sexe à pleine main, l’excitation qui monte encore d’un niveau, je suis à ses pieds, elle est devant moi, debout, sa main s’avance vers ma tête. Je sens l’odeur enivrante de son sexe. Mon téléphone vibre. Je suis tiré de mes pensées. C’est elle. Son message est laconique.
    
    Alors j’ai remballé ma frustration et j’ai tenu bon toute la semaine. J’ai enchaîné footings et séances de piscine pour canaliser cette énergie en attendant le jour fatidique. L’esprit ...
    ... tournant en boucle ; toujours. Avec en prime cette petite question sur le timing de son dernier message. Omniscience, mouchard ? Ou alors elle m’a juste trop bien cerné et elle connaît l’effet que cette première rencontre doit avoir sur moi.
    
    Enfin, mercredi soir, j’ai reçu ce SMS, ses instructions :
    
    Voilà pourquoi j’attends maintenant, depuis un temps qui me semble interminable, à genoux sur une serviette éponge dans le sous-sol d’un club « pour adulte » de la région parisienne. Malgré l’ambiance feutrée et cossue de la pièce, le velours rouge des tentures que j’ai découvert en entrant et malgré le chauffage qui tourne à fond, je commence à frissonner, j’ai les genoux douloureux et je me demande si cela aura une fin. Je m’interroge aussi sur ce qui m’attend. J’ai envie de me remettre debout, de me rhabiller et de partir en courant.
    
    J’en suis rendu là de mes réflexions quand j’entends le bruit d’une porte que l’on ouvre. Instinctivement, je ressens sa présence. D’un coup, mes doutes s’envolent. Elle est là. C’est bien elle. Mon excitation remonte d’un coup. Je me redresse. Je hume l’air pour sentir sa présence. Tous mes sens sont en ébullition. Je perçois le bruit de chacun de ses pas quand elle entre, sa délicatesse quand elle referme la porte derrière elle et tire le verrou pour ne pas être dérangée. Le bruit du tissu léger qui la couvre. Et son parfum, mélange de senteurs florales légèrement iodé. Je suis fou ; j’ai envie de me ruer sur elle, de me jeter à ses ...
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