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Si Jeune et jolie Christy – XII
Datte: 16/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: olifougueux, Source: Hds
... le cou et me roula une pelle poisseuse au gout acre. « On y va ? » dit-elle simplement, me laissant sur le cul. Elle s’endormit quelques kilomètres plus loin, bercée par le ronron du moteur, et ne se réveilla qu’une fois en bas de notre immeuble. Une fois dans l’appart, je filai dans la cuisine préparé le repas, elle alla prendre une douche. En sortant de la salle de bain, le corps entouré d’une grande serviette de bain qui la recouvrait d’au-dessus des seins jusqu’en bas des fesses, elle vint se coller à moi pour m’embrasser. Je l’enlaçai, prolongeant ce baiser, elle fit de même, mettant ses bras autour de mon cou, ce qui fit tomber la serviette, dévoilant son corps aux formes merveilleusement sensuelles. Je senti monter mon envie d’elle, ne l’ayant plus étreinte depuis trois jours. Mais, espiègle, elle posa sa main sur ma cage, interrompit notre baiser en penchant la tête en arrière et me tira la langue en signe de défi, avant de s’extirper de mes bras pour traverser le salon en courant vers la chambre. Ses cheveux mouillés étaient eux aussi ceints d’une serviette plus petite qui me resta dans la main lorsque je tendis le bras d’un reflex pour tenter de la retenir. Celle-ci étant bien mouillée, je la roulai sur elle-même et marchai tranquillement vers la chambre. Me voyant, elle se mit à rire nerveusement, passant d’un coté à l’autre du lit en courant par-dessus d’un air de dire « attrape-moi si tu peux ». Mais pendant cette pantomime, je m’approchai très ...
... discrètement pas à pas sans qu’elle ne s’en aperçoive et, lors de sa quatrième virevolte, je lui saisis fermement la cheville. Elle s’étala de tout son long à plat ventre. Alors, je lui sautai dessus pour la plaquer sur le lit et lui frappai les fesses de toutes mes forces avec la serviette humide, jusqu’à ce quelle me donne enfin la clé de ma délivrance. Ne sachant si je lui avais mis ces coups par jeu ou par nerf, malgré qu’elle les eût appréciés, elle réalisa qu’elle était peut-être aller trop loin dans la provocation. Et, lorsque je me mis à pleurer, les deux mains sur les tempes, parce que je savais, moi, que j’avais perdu mes nerfs et que je m’en voulais terriblement pour ça, elle vint m’enlacer à son tour, me serrant fort mais tendrement, me faisant plein de bisou en me disant « pardonnes moi » plus d’une dizaine de fois. Nous tombâmes allongés, elle m’enlaçant toujours, et mes sanglots s’arrêtèrent. Je lui dis : « Pardonne-moi toi aussi d’avoir perdu mon sang froid, et de t’avoir molestée. Mais tu sais, il y a un temps pour tout. Et le consentement vaut pour chacun de nous. » « J’ai compris mon amour, excuses moi. Je me suis laissée emporter par l’excitation que j’ai accumulée tout au long du weekend et je n’ai pas su m’arrêter, je ne t’en veux pas, tu as eu raison, il me fallait un tel choc pour reprendre mes esprits et retomber sur terre. Tu m’en veux, toi ? » Elle m’avait posé cette dernière question avec une tristesse si sincère que, pour toute réponse, je lui ...