1. Si Jeune et jolie Christy – XII


    Datte: 16/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: olifougueux, Source: Hds

    ... doubler un poids lourd. Or, Christy avait remis sa mini-jupe d’écolière qu’elle portait le premier soir (rappelez-vous, la fessée…). Et c’est certainement la vue de ses jolies cuisses qui avait provoqué cette manifestation sonore enjouée. Christy, surprise, sursauta et leva la tête vers la cabine du camion que je ne pouvais voir depuis ma place de conducteur. Elle sortit alors ses pieds de ses mules à talons de cordes tressées et les posa, bien écarté sur le tableau de bords, et me demanda, avançant le bassin au bord de son siège, de ralentir. Je vis qu’elle n’avait pas remis sa culotte souillée et que sa vulve était impudiquement exposée aux yeux du chanceux chauffeur. Celui-ci klaxonna de plus belle.
    
    Elle sortit alors son sein droit de son débardeur, en riant de joie, et le caressa vigoureusement de la main gauche tandis que la droite alla tremper ses trois plus longs doigts dans son calice et commencèrent à lui fouiller le vagin frénétiquement. Je lui lançais des regards furtifs pour garder un œil sur la route et j’étais terriblement excité, imaginant ce que ce devait être pour le routier. Jusqu’au moment ou un énorme jet de cyprine vint s’éclater sur le pare-brise, hors de portée des essuie-glaces qui se trouvaient à l’extérieur. Riant maintenant aux éclats, elle fixait le chauffeur d’un regard langoureux en faisant tourner lubriquement sa langue sur ses lèvres pour l’allumer de plus belle.
    
    Ayant provoqué un bouchon derrière nous alors que des véhicules nous ...
    ... déboulaient sans interruption à grande vitesse sur la voie de gauche, j’accélérai et me rabattais devant le voyeur. La, il devint comme un fou, rajoutant des appels de phares à son concert de trompe, il actionna son clignotant droit.
    
    « Euh… Je crois qu’il me fait signe de rejoindre la prochaine aire de repos » dis-je à Christy. Les panneaux de signalisations indiquaient que la bretelle menant à celle-ci se trouvait à deux-mille mètres.
    
    « Ouais, super idée ! Vas-y. »
    
    « Euh, tu es sure ? »
    
    « Oui vas-y, vas-y… » me répondit-elle autoritaire et si empressée que je m’exécutais, incrédule. Ayant pris un peu d’avance, sur lui, je me garais à l’écart des autres véhicules parqué là, tirais le frein à main et regardai Christy.
    
    « Tu m’enlèves la cage ? » lui demandais-je penaud
    
    « Euh… non. On verra ça ce soir si tu es sage. » me dit-elle d’un ton taquin affichant une moue moqueuse.
    
    « De toute façon, toi tu restes là, j’en ai pas pour longtemps » et elle claqua la portière sans me laisser le droit de protester.
    
    Et s’engouffra dans la cabine du tracteur qui venait juste de s’arrêter à coté de nous. L’apercevant furtivement je vis que le gars était vieux, chauve et bedonnant, ils montèrent tous les deux sur sa couchette, dont il tira les rideaux. J’étais frustré et me sentis humilié une fois de plus, je sortis fumer clope sur clope. Elle en ressortit une demi-heure plus tard, les cheveux ébouriffés, les joues rouges et la jupe en bataille. Venant à moi, elle m’attrapa par ...
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