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Si Jeune et jolie Christy – XII
Datte: 16/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: olifougueux, Source: Hds
Si Jeune et jolie Christy – XII Émancipation – Prise d’envol - De retour à l’alcôve, je réalisai que la pulpeuse blonde n’était pas que l’amie, l’amante et la complice de Sylvia, mais que leur relation comprenait également une nature maître/esclave. Elles en étaient d’autant plus proches et inséparable, et se connaissaient réciproquement sur le bout des doigts (j’aurais pu dire des cinq doigts par rapport à ce qu’elles m’avaient montré ce jour-là), pouvant partager les différents moments de leurs vies. Amies distinguées en sortie, lesbiennes assumées en privé, complices en orgie et maitresse et soumises dans le genre d’événement que nous étions en train de vivre. Elle s’appelait Odile, un prénom bien de sa génération. Je l’appris au moment où Sylvia, après s’être vautrée sur la banquette, lui ordonna de me nettoyer de toutes les souillures maculant presque entièrement mon corps. Ni une ni deux, elle se mit à me lécher de partout avec envie et application, n’oubliant pas un centimètre carré de peau, ne négligeant aucun repli, même les plus intimes de mon anatomie. Elle avait l’air d’apprécier, je crois qu’elle m’aimait bien, peut être le souvenir du premier cunni que je lui avais administré la nuit du concert, qui sait ? Et je le lui rendais bien, ses formes pantagruéliques m’avaient immédiatement attiré tout comme la blancheur laiteuse de sa peau fine et douce et la tendre mollesse de ses formes lipoïdes. Rappelez-vous que je n’avais jamais, avant Christy, été en ...
... couple avec une femme beaucoup plus jeune que moi. Depuis mon plus jeune âge, j’avais toujours eu une attirance certaines pour les femmes plus vieilles, voire beaucoup plus vieilles que moi. Et, je sais que cela va en dégouter certain, mais c’est toujours vrai aujourd’hui, alors que j’ai plus de cinquante-cinq ans. Mais je m’en fous, j’assume, oui, je trouve certaines grand-mères très belles, sensuelles et sexy, et je les baiserais fougueusement avec envie. Une fois bien propre de partout, Sylvia nous autorisa à nous reposer sur la couverture, à ses pieds, sur laquelle nous nous lovions l’un contre l’autre tendrement, j’étais bien, baigné de douceur pour la première fois depuis ces dernières vingt-quatre heures, et je ne pouvais m’empêcher de caresser ce corps presque amoureusement, ce qui avait l’air de la ravir. C’est pendant ce délicieux moment que nous vîmes revenir Christy, entourée de Gérard et André, le mari d’Odile. Je remarquai instantanément que sa démarche, sa posture, son attitude et son aspect avaient changés du tout au tout. Ils ne la tenaient plus en laisse mais, au contraire, lui donnaient chacun le bras comme à une vraie gente dame. Elle avait désormais revêtu un corset bustier bien ajuster, garni de jarretelles retenant des bas couture du plus bel effet. Celui-ci masquait ses seins mais laissait son cul et son sexe lisse libres de toute entrave. Ses beaux cheveux blonds aussi avait été libérés et retombaient élégamment sur ses épaules arrondies. Enfin, ...