1. Une robe blanche...


    Datte: 14/12/2025, Catégories: Humour init, fh, vacances, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... une.
    
    Non, ce matin, il se trouve que j’envisageais plutôt de me pendre par les couilles, et encore, avec un élastique.
    
    — Et alors ?
    — Et alors, tu n’as qu’à regarder, pardi !
    
    Joignant son geste à la parole, elle ouvre les jambes, ce qui a pour conséquence de relever le bas de sa robe et de me dévoiler, libre de toute entrave, cette fameuse vallée des merveilles tant convoitée. Même dans mes rêves les plus fous, jamais je n’avais envisagé cette éventualité… Seul léger problème, le lapin Duracell et ses cymbales viennent de reprendre possession de mon cerveau, je bugge carrément !
    
    Mais, cette fois, je parviens à me reprendre assez vite et, vu que ce matin et à défaut de véritablement voir ce que je faisais et ce que je trifouillais, je suis parvenu à lui procurer quelque chose qui ressemblait fort à du plaisir, autant essayer de recommencer… Logiquement, alors que mes yeux découvrent enfin ce miracle de la nature dont j’ai tant rêvé, je devrais réussir à ne pas me planter lamentablement. Ça me changera !
    
    — Oui, vas-y, là, c’est agréable… Là aussi… Là, un peu moins… Ah non, là, tu perds ton temps… Non mais là, vas-y, tu peux enfoncer ton doigt, ça ne mord pas !
    
    Alors, bien sûr, je suis ses indications à la lettre… Si bien qu’à un moment, je la vois de nouveau se mordre la lèvre pour s’empêcher de gémir pendant que son bassin se révulse. Tout comme ce matin et faute d’avoir eu des explications, je m’inquiète.
    
    — Ça ne va pas ? Je t’ai fait mal ?
    
    Elle ...
    ... sourit.
    
    — Oh que non ! Au contraire, c’était délicieux.
    — Oui, mais heu… Qu’est-ce qu’il s’est passé ?
    — Ce qui s’est passé ? Il se passe que cela fait deux fois que tu me fais jouir, vilain garnement ! Et que c’est délicieux !
    
    Elle est sur le point de me reprendre dans ses bras pour m’embrasser à pleine bouche que cinq heures sonnent au clocher de l’église.
    
    — Vaudrait mieux qu’on rentre, on va finir par nous poser des questions. Mais je vais quand même m’occuper de toi.
    
    Inutile de préciser qu’avec tout ce cirque, Azor (oui, je sais, c’est la moitié du calendrier que j’ai dans mon caleçon) est encore et toujours raide comme un piquet. Tous deux assis dans l’herbe, elle commence à m’astiquer doucement le mandrin, j’en vois trente-six chandelles.
    
    — C’est bien, cette fois, tu résistes… Ça me plaît… Et puis tu vas voir, plus tu te retiens, plus c’est énorme quand ça part.
    
    Alors oui, en y repensant, j’ai réussi à me retenir un bon moment… Combien de temps ? Oh, j’aimerais pouvoir dire cinq minutes, mais cela me paraît présomptueux ! Par contre, Véronique n’a pas menti, lorsque j’envoie la purée, cela gicle vraiment très loin dans la verdure. J’ai l’impression que je vais y laisser la moitié de mon bas-ventre.
    
    — C’est bien, dit-elle en léchant sur le dos de sa main quelques gouttes de ma semence, maintenant, il vaut mieux qu’on rentre.
    
    Et le soir, direz-vous ? Et le soir ? Eh bien, on s’est bécotés un moment, elle a mis ses mains partout et moi de même, et on ...