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Une robe blanche...
Datte: 14/12/2025, Catégories: Humour init, fh, vacances, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... journée n’est pas finie. Si elle le dit… Parce que moi, là, tout de suite, j’ai quand même sacrément envie de me la frotter vigoureusement sur le crépi ! Par bonheur – enfin, je ne sais pas si c’est le terme qui convient vraiment – je suis mou comme une chique et de toute façon pas assez souple pour y parvenir. Quatorze heures trente, tout le monde fait la sieste quelque part à l’ombre de la maison, sauf Véronique et moi qui gambadons, main dans la main, dans le sous-bois, et de temps à autre je la prends par la taille et je l’embrasse à n’en plus finir. Et pourquoi, je vous le demande ? Eh bien, tout simplement parce qu’elle m’a précisé que si je ne le faisais pas, j’avais toutes les chances de me la mettre sur l’oreille ! Quoi qu’il en soit, nous voilà assis tous les deux au pied d’un grand chêne. Devant nous, l’immensité de la plaine et la silhouette des sommets environnants couronnés de leurs neiges éternelles… en plus, bien sûr, du doux parfum des fleurs sauvages et de la lavande qui nous entoure. Bref, le paradis, ou presque ! Elle se penche vers moi. — Et avant de les voir hier et ce matin, mes seins, tu les trouvais jolis ? — Pardon ? — Ben oui, depuis le temps que tu mates dans mon décolleté, tu dois bien en avoir une petite idée, non ? Tiens, voilà encore une autre façon d’avoir l’air con… Rétrospectivement, je me dis que c’était forcément un secret de polichinelle. — Cela dit, là, ils sont tout à toi… À condition que tu viennes les ...
... chercher, bien entendu. Sa robe, bien évidemment blanche, est fermée par une multitude de petits boutons que j’ai d’ailleurs bien du mal à retirer un par un. Patiemment, elle me laisse faire, et enfin, sa jolie petite poitrine apparaît. — Tu peux les toucher, et les embrasser, aussi… Ils ne vont pas te mordre. Ce matin, j’ai appris que c’était le bout de ses seins qui était particulièrement sensible et qu’elle adorait être caressée à cet endroit… Alors, ses seins, je les caresse, je les soupèse, je les re-caresse du dos de la main, m’attardant comme par hasard sur ces pointes qui n’en finissent plus de se dresser. — Vas-y, lèche-les, prends-les dans ta bouche… Vous savez ce qu’on prétend ? Un sage aurait dit qu’il ne faut jamais contrarier une femme, surtout dans ce genre de situation ! Pourquoi voudriez-vous que je transige à la règle ? Puisqu’elle me le demande si gentiment, je les suce, je les aspire, je les titille du bout de la langue… Et pendant ce temps, elle semble particulièrement apprécier ces familiarités, les yeux mi-clos. — Tu te débrouilles bien, tu sais ? Par contre, j’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer : tu auras beau te dévisser à chaque fois que je croise les jambes, aujourd’hui, tu ne verras pas ma culotte. Mince ! Qu’est-ce que c’est encore que cette histoire ! Soudainement, l’espoir d’enfin tirer ma crampe vient de nouveau de s’éloigner. — Ne fais pas cette tête ! Simplement, je te rappelle que ce matin, tu as oublié de m’en ramener ...