1. Trio initiatique d’étudiants dans un train de nuit


    Datte: 14/12/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Marcel1001, Source: Hds

    ... une frontière invisible, et pourtant tout me semblait naturel, comme si cela devait arriver.
    
    Léa se blottit entre nous deux. Sa poitrine ferme se pressait contre le torse de Marie, ses fesses contre ma hanche. Elle passa un doigt sur mes lèvres, comme pour vérifier que j’étais réel, puis chuchota :
    
    — J’avais peur, mais… j’ai adoré. Vous m’avez fait découvrir quelque chose que je ne connaissais pas.
    
    Marie lui caressa les cheveux.
    
    — Tu étais belle à voir, Léa. Si vivante.
    
    Je déposai un baiser sur son front. Elle sourit, un vrai sourire, ingénu et lumineux. Ses joues étaient encore chaudes, ses yeux brillants d’une lueur nouvelle, un mélange d’innocence et de savoir.
    
    Nous sommes restés longtemps ainsi, serrés, nos souffles se calant peu à peu sur le rythme du train. Les gares traversées défilaient en silence derrière les vitres, mais à l’intérieur du compartiment, le temps s’était figé.
    
    Allongé près d’elles, encore moite, j’avais l’impression que mon corps vibrait encore. Pourtant, ma tête revenait sans cesse à ce moment précis, celui où j’ai basculé.
    
    Je repassais la scène dans mon esprit. Je revois leurs croupes offertes, cambrées, luisantes de sueur et de sperme. La lumière blafarde soulignait chaque détail : la rondeur ferme des fesses de Marie, la courbe plus fine mais tout aussi insolente de Léa. Entre leurs cuisses entrouvertes, leurs vulves gonflées luisaient, poisseuses de plaisir, marquées par mes va-et-vient. Cette vision me ...
    ... transpersait.
    
    Je me voyais aussi me branler l’instant d’avant en les fixant, la main serrée sur ma verge dure. Voir ma semence se mêler à la cyprine de Léa, s’écoulant en filets blancs le long de sa cuisse, me rendait fou. Je ressentais la brûlure qui montait dans mon ventre, mes jambes qui se tendaient, mon souffle devenu rauque. Fixé sur leurs fesses cambrées, leurs cuisses entrouvertes, j’avais laissé l’orgasme me submerger. J’avais joui violemment, en longues giclées brûlantes, éclaboussant le creux du dos de Marie puis leurs reins à toutes les deux. Le sperme avait glissé lentement, brillant sur leurs peaux, comme un sceau posé sur elles. Les voir ainsi tachées, offertes à mon plaisir, a prolongé mon orgasme jusqu’au tremblement. J’étais retombé en arrière, vidé, le cœur battant aux tempes, encore électrisé par l’image. Ce n’était pas seulement du sexe. C’était une révélation : leurs odeurs mêlées, leurs fluides, mon plaisir sur elles, tout cela formait un tableau brut qui disait ce qu’aucun mot ne saurait exprimer.
    
    Léa interrompit le film que je me repassais.
    
    — J’ai jamais… enfin… c’était la première fois que je me sentais comme ça.
    
    Sa voix tremblait un peu, mais elle continuait, cherchant ses mots.
    
    — Au début, j’avais peur. Quand je vous ai vus, j’ai cru que j’allais fuir. Et puis… j’ai eu envie. Mon ventre s’est mis à brûler. Quand tu m’as touchée, Julien, j’ai cru que j’allais éclater. Et quand Marie m’a… enfin, quand ta bouche était sur moi… j’ai… j’ai pas pu me ...