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Trio initiatique d’étudiants dans un train de nuit
Datte: 14/12/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Marcel1001, Source: Hds
Nous voyagions en groupe d’une dizaine de potes depuis plusieurs jours, sacs au dos, billets de seconde classe, nuits blanches dans des wagons couchettes trop étroits. Avec Marie, ma copine de l’époque, nous avions trouvé notre rythme. Notre relation était essentiellement charnelle. Le sexe, entre deux gares, était devenu notre refuge: une habitude, un rituel presque mécanique qui nous ramenait l’un à l’autre sans effort. Ce soir-là, nous nous étions retrouvés dans la couchette du bas. Le drap rêche collait à nos peaux. J’étais en elle depuis un moment déjà. Marie s’ouvrait à moi avec cette aisance tranquille qu’elle avait toujours : cuisses écartées, vulve offerte qu’elle préparait en se masturbant, seins lourds, tétons durs sous la lampe blafarde. Ma verge disparaissait entre ses lèvres, réapparaissait luisante, avalée encore et encore par sa chaleur humide et dense. Nous nous connaissions par cœur. Le rythme était lent, profond, sûr. Je me penchai pour l’embrasser. Elle me mordit doucement la lèvre. — Allez, Julien, baise-moi plus fort, s’te plait, souffla-t-elle. J’obéis, mes hanches claquant contre son bassin. Ses gémissements emplirent le compartiment. C’est alors que la porte s’ouvrit brusquement. Léa entra, sans prévenir. Dix-huit ans tout juste. Dans le groupe, elle passait pour la plus sage. Mais là, elle resta figée, incapable de détourner les yeux. Ses joues s’empourprèrent, ses lèvres s’entrouvrirent. Son regard se posa sur nos corps collés, sur ...
... ma verge qui disparaissait entre les cuisses de Marie, puis réapparaissait. Je ralentis, hésitant. Marie, elle, planta ses yeux dans ceux de Léa. Un sourire franc au coin des lèvres. Elle lui tendit une main, nue, humide. — Viens. Tu veux juste regarder ? Léa fit deux pas, tremblante. Elle s’assit en tailleur au pied de la couchette. Marie l’attrapa par la nuque et l’embrassa. La bouche de Léa s’ouvrit aussitôt, timide d’abord, puis gourmande. Ses joues rouges la trahissaient. J’interrompis notre étreinte, ma verge dressée et palpitante semblait la regarder déjà impatiente de ce qui allait se produire. Marie descendit de la couchette et s’approcha de Léa. Les courbes de son corps ressortaient mises en valeur par l’éclairage trop faible. Elle lui défit le haut. Ses seins apparurent : jeunes, fermes, hauts, les tétons roses clairs durs comme deux perles. Je tendis la main, les caressai, sentis combien ils étaient fermes et chauds. Elle gémit, surprise, souriante, mais ne recula pas. Marie descendit ses mains sur son short, le fit glisser. Quand Léa retira sa culotte, je découvris son sexe : un pubis fourni, sombre, épais, et déjà luisant. Ses lèvres dépassaient légèrement, gonflées, prêtes. Elle voulut se couvrir. Marie écarta ses mains. — Laisse-toi voir, dit-elle d’une voix basse. Tu es magnifique. Je passai mes doigts sur son sexe, la caressant avec une phalange de mon index. Ses lèvres s’ouvrirent aussitôt, chaudes, humides, son clitoris palpitant sous ...