1. Trio initiatique d’étudiants dans un train de nuit


    Datte: 14/12/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Marcel1001, Source: Hds

    ... mon pouce. Léa gémit plus fort, la tête renversée.
    
    — Oh c’est bon…Julien… continue…
    
    Marie s’allongea contre elle, lui prit un sein dans la bouche, le suçotant avec lenteur. Je pénétrai Léa de deux doigts. Son bassin se souleva, incontrôlable. Ses fluides coulaient déjà le long de ma main.
    
    Marie me regarda, sourire aux lèvres.
    
    — Baise-la, Julien. Tu vois bien qu’elle n’attend que ça.
    
    Je sortis ma verge, tendue, luisante du plaisir de Marie. Je me masturbais un peu pour l’affermir. Je la posai contre la fente luisante de Léa. Elle écarquilla les yeux, surprise par la taille, la chaleur, mais avec un sourire joyeux. C’est son bassin qui vint de lui-même s’aligner.
    
    — Oh… mais doucement s’il te plaît, souffla-t-elle.
    
    Je poussai lentement. Ses lèvres s’ouvrirent, son sexe m’aspira. Elle cria, fort, sans retenue, et referma ses jambes autour de moi. J’étais serré à en perdre le souffle, pris dans une chaleur incroyable. Léa s’abandonna aussitôt, ses gémissements emplissant le compartiment.
    
    — Oh oui… prends-moi… encore… plus fort !
    
    Je tenais ses hanches, frappant plus profondément .
    
    Marie l’embrassait au coin des lèvres, murmurait :
    
    — Tu aimes ça, hein ? Tu aimes qu’il te remplisse ?
    
    — Oui…oui… je jouis… je jouis…
    
    Léa se cambra, ses yeux roulaient vers le haut, son sexe se contracta autour de moi en vagues puissantes. Elle jouit violemment, ses cris couvraient le roulis du train. Je n’ai pas tenu plus longtemps. Je me suis libéré en elle, en ...
    ... pulsations profondes. Ma semence la remplit, déborda aussitôt, coulant le long de ses cuisses.
    
    Léa s’effondra sur le drap, bouleversée, mais heureuse. Elle haletait encore, la peau moite, son ventre parcouru de soubresauts, son entrejambe battant encore d’ondes de plaisir. J’étais resté en elle jusqu’au dernier instant. Quand je me retirai, un dernier filet blanc plus épais s’échappa aussitôt, glissant le long de ses cuisses jeunes et fermes. Je veillais à vider ma verge des dernières gouttes de semence dans un mouvement masturbatoire. Elle eut un petit gémissement surpris, ses yeux brillants dans la pénombre.
    
    Marie se pencha vers elle, caressa son ventre, puis sa toison sombre encore humide. Elle passa deux doigts sur la vulve brillante de Léa, recueillit un peu du mélange, puis les porta à ses lèvres.
    
    — Tu sens comme on est beaux, tous les trois, murmura-t-elle en la regardant.
    
    Léa tremblait toujours. Marie s’allongea sur elle, l’embrassa avec lenteur, laissa sa langue glisser entre ses lèvres. Je les regardais s’unir, deux corps jeunes et moites, collés, leurs seins fermes qui se frottaient.
    
    Puis Marie descendit. Sa bouche suivit le cou, le ventre, jusqu’au sexe encore ouvert de Léa. Elle écartait ses petites lèvres du bout des doigts, révélant son clitoris gonflé. Marie l’engloutit de sa bouche, l’aspira doucement, puis plus vite, sa langue glissant en cercles précis.
    
    Léa se cambra, la main crispée dans les cheveux de Marie.
    
    — Putain… t’arrête pas… ...
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