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William et la comtesse
Datte: 09/12/2025, Catégories: #domination, fh, uniforme, hsoumis, fdomine, soubrette, Oral nopéné, sm, Auteur: Boonzardos, Source: Revebebe
... Leurs mains se trouvèrent immédiatement, et ils se dirigèrent vers le centre de la pièce. La danse qui suivit fut une harmonie silencieuse, un mélange de pas légers et de mouvements gracieux. Ils se déplaçaient en symbiose, les regards s’échangeant de manière complice. Selon les pas, leurs corps s’éloignaient, se rapprochaient, se frôlaient, frémissants. Dans cet espace restreint et à cet instant précis, l’aristocrate et le domestique transcendaient les barrières qui les séparaient. La danse devenait un langage à part entière, une manière d’exprimer tacitement les émotions et la profondeur de leur relation. Le petit salon était devenu leur univers, où seul comptait le lien qui les unissait. Alors que la musique touchait à sa fin, ils ralentirent leurs pas, demeurant proches. Leurs cœurs, témoins de l’intimité partagée, battaient en harmonie. Ils se regardaient avec une affection mutuelle, comprenant combien leur connexion était rare et précieuse. Chacun rejoignit le siège qu’il avait quitté quelques minutes plus tôt. Ils restèrent silencieux un moment, le temps de recouvrer leurs esprits. Comme après l’amour. Ce fut la comtesse qui brisa le silence : — Merci, mon William. — Je vous en prie, Madame Quelques instants plus tard, elle reprit la parole : — Au fait, William, comment s’était déroulé l’entretien d’embauche de cette nouvelle domestique… ? Gertrude… ? — Justine, Madame, si je puis me permettre, corrigea William. Ayant vérifié, au préalable, ses ...
... références, je lui ai présenté le niveau d’exigence de votre maison. J’ai également tenu à m’assurer de ces compétences et qualités. Bien évidemment, ai-je insisté sur le dévouement, la discrétion, le respect. — Bien sûr, William, bien sûr, répondit avec agacement la comtesse. Mais encore ? Lui avez-vous précisé nos attentes quant à ses comportements et attitudes ? Comment se tenir ? — Effectivement, mais compte tenu de son expérience, ce fut juste un rappel. — Je comprends. On dit qu’elle a un très bel uniforme. Et qu’elle porte très bien le tanga sur ses jolies petites fesses, murmura presque incidemment la comtesse. — Oui, c’est ce que l’on dit, Madame, répondit William en évitant le regard perçant de Clémence. La majordome méditait en silence sur la portée de cet échange. Accoutumé au cheminement de pensées de sa maîtresse, ses dernières paroles le laissaient pantois. Personne n’était au courant des détails de son entretien avec Justine ; il se serait bien gardé de les partager avec qui que ce soit ! — Allons vérifier cela, William, ordonna tout à coup Clémence. Fort à parier que mon époux est en compagnie de sa… bonne. Ayant dit cela, elle se leva d’un pas déterminé et se dirigea vers son secrétaire. Après quelques manipulations, elle ouvrit un petit tiroir dissimulé derrière une moulure et en sortit une clé. Précédant William, elle quitta ses appartements en direction de l’aile ouest du Château, dédiée au comte. Au lieu d’emprunter l’itinéraire usuel, elle bifurqua ...