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Le Déluge 01
Datte: 05/12/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: marco_solo, Source: Literotica
... toute l'eau qu'ils ont prise... La femme réfléchit un instant en fixant le sac. — J'ai pas confiance, décida-t-elle. — Regardez! implora Lisa en ouvrant le sac. Il était plein d'eau. — Tu dis peut-être vrai... La femme cherchait une solution. Puis... — Foutez-vous à poil! — Quoi? réagit Lisa. — Tu m'as compris! Vous êtes trempés comme des soupes. Vous n'allez pas rester comme ça, alors vous mettrez vos frusques à sécher. Moi je vérifie que vous n'avez rien sur vous qui risque. Lisa me regarda. — Allez! Obéissez-nous intima la femme en soulignant son commandement du canon de son fusil. On se désapa. Comme Lisa hésitait à retirer sa culotte, la femme la houspilla. — Entièrement! Lisa fit difficilement glisser son slip le long de ses cuisses et de ses jambes. Ce n'était pas de la pudeur, le slip était gorgé d'eau, les membres de ma femme étaient trempes, d'où la difficulté à le retirer. J'avais eu le même problème. La femme nous observait d'un air satisfait. Elle affichait un sourire jouissif. — Tournez-vous, commanda-t-elle Nous pivotâmes sur la pointe des pieds. — Y'a un problème, vous êtes vraiment crades, trop plein de fange pour rentrer. Descendez les marches jusqu'à la dernière et laissez la flotte vous nettoyer. Je fus surpris par la rapidité avec laquelle nous obéîmes. La pluie accélérée par le vent nous cingla le corps immédiatement. Des millions de piqûres. — Nettoyez-vous, cria la femme au fusil. Elle ...
... répéta son ordre. — Nettoyez-vous mutuellement! Lisa entreprit de me débarrasser de la boue qui coulait sur mon corps, je fis de même. Nos mains courraient sur nos peaux, c'était bien plus qu'un simple nettoyage. Lisa me caressait, mon corps réagissait à ses caresses et je les lui rendais. La violence du choc des gouttes de pluie sur notre chair nous excitait, et la présence de la femme, son regard, ne nous retenait pas. Au contraire, nous savions, nous avions senti, ressenti la jouissance lubrique dans le ton de ses commandements, la délectation qu'elle avait prises à nous voir obéir tout d'abord. Puis à nous détailler. À nous mater franchement, nus au milieu des éléments déchaînés pour nous être soumis à ses ordres. Lisa comme moi étions conscients d'essayer de trouver un peu de réconfort, un moment de plaisir dans un tourbillon de catastrophes. Et ça fonctionnait, un peu. Ma verge se relevait, les tétons de Lisa durcissaient, nos peaux s'électrisaient sous nos doigts. Encore quelques minutes et je... — C'est bon! Vous êtes assez propres. Soit vous restez là à vous papouiller, soit vous revenez ici! gueula la femme du pas de la porte. Nous remontâmes les quatre marches jusqu'à l'étroit perron. — Toi, dit la femme en me désignant du bout du canon. Attrape ça! Elle désignait une chaîne accrochée au mur extérieur. Je m'accroupis et décrochai une chaîne munie de deux colliers espacés d'un mètre environ. C'était une chaîne prévue pour attacher deux chiens côte à ...