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Le Podologue
Datte: 01/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: Levisse, Source: Literotica
... me justifier. - Je n'ai pas le temps, il faut que je rentre, murmurai-je. - Non, vous allez obéir. Et vite, si vous ne voulez pas que je me fâche. Je connaissais ce ton. Mon mari l'employait couramment. J'étais du genre soumise, sexuellement comme dans la vie courante. Il m'avait appris à ne prendre mon plaisir que dans l'obéissance, la soumission, la honte, l'humiliation. Nul doute que ce scénario lui aurait particulièrement plu. Il en inventait souvent de semblables dans ses jeux érotiques. Je me sentais définitivement piégée et savais que rien n'empêcherait désormais cet homme de profiter de moi physiquement. Un seul espoir désormais : que mon mari ne sache rien de ma mésaventure. Donc, surtout, qu'il ne découvre pas ma culotte dans mon sac à main ni dans la panière à linge. Je renonçais à résister à cet homme beaucoup plus fort que moi. Je me rendis donc très lentement dans la pièce à côté pour subir mon infamie. Je quittais mes bas et m'installai sur la chaise aux supplices. Je me dis que peut-être cette fois ci, je parviendrai à serrer suffisamment mes jambes pour qu'il ne voie rien, mais mon espoir était bien mince. J'attendis plusieurs minutes interminables. Je l'entendais se déplacer dans l'autre pièce. Que pouvait-il bien faire? Y aurait-il un miracle de dernière minute? Peut-être ne trouvait-il pas son fameux produit? Pouvais-je me relever, lui demander si je pouvais revenir, partir? Je n'osais pas. Et quelque part en moi, quelque chose aurait ...
... regretté qu'au point où j'en étais, il ne se passe rien. Je souhaitais secrètement subir ma punition. Cela m'excitait, même si je refusais de l'admettre. L'homme entra enfin dans la pièce. Il s'installa à sa place habituelle et releva mon fauteuil, encore plus que tout à l'heure. J'attendais la suite, avec désespoir. Plus rien ne pouvait me sauver. Il saisit mon pied et tout doucement le fit tourner. Je résistais désespérément, mais il se fit violent. Mon pied tourna et mes cuisses s'ouvraient lentement, très lentement. Il semblait prendre plaisir à mon supplice et ralentissait au maximum ses gestes. Dans une seconde, certainement, il découvrirait mon triangle doré tout en haut de mes cuisses. Il tournait et retournait mon pied, prenait l'autre et ne disait rien. Je me doutais qu'il voyait, mais je ne savais pas réellement. Se pouvait-il qu'il ne voie pas mon cul libre de toute protection? Ou bien qu'il se contente de mâter sans rien dire et surtout sans me toucher. Je reprenais espoir. Un simple voyeur peut-être. Il leva encore davantage mon pied (toujours sans me soigner, d'ailleurs), plia encore ma jambe, écartant toujours plus mon entrejambe. Ma jupe se releva soudain sur mes cuisses. Je sentais l'air frais sur ma vulve. A la pensée de ce qu'il devait obligatoirement voire maintenant, un début d'orgasme me transperça. Ma chatte s'ouvrait largement et recommençait à couler, je le sentais nettement. -Comment allez-vous justifier que vous ayez retiré votre ...