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Le Podologue
Datte: 01/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: Levisse, Source: Literotica
... fis tourner le dérouleur de papier hygiénique. Horreur. Cauchemar. Il était vide. Je regardais partout autour de moi. Rien. Pas un rouleau ne traînait dans la pièce. Ma tête se vidait soudain. Je ne pouvais plus penser, plus réfléchir. Je restais inerte, interloquée, dans cette position si inconfortable, accroupie, culotte sur les genoux, cuisses grandes ouvertes... Que faire? Mon sexe était trempé. Trempé du gros pipi, mais aussi des pensées coquines de tout à l'heure. Je ne pouvais pas rester ainsi des heures. Il fallait que je sorte. J'ouvris mon sac à main dans l'espoir d'y trouver au moins un petit mouchoir. Mais rien. Je tentais d'égoutter mes lèvres mais, si une petite goutte tomba bien, je sentais que ma chatte était détrempée. Pire, encore : en soulevant ma robe, je vis se détacher de ma chatte gluante une longue larme de mes liquides intimes qui descendait jusque dans le pipi au fonds de la cuvette. J'eus beau me secouer au dessus de mon trône, la longue coulée gluante ne voulait pas se détacher de moi. C'était écœurant!.. Je ne pouvais pas rester comme cela. Mais que faire? Remonter ma culotte sur mon sexe si humide? Quelle horreur! Je pris soudain une décision folle et que je devais ensuite amèrement regretter; je quittais ma culotte, pris le fonds de celle-ci (seul endroit un peu doublé) puis, écartant largement mes cuisses, j'essuyais profondément mon sexe, recommençant plusieurs fois ce geste parfaitement dégoûtant (je le sentais bien, ...
... mais n'avais pas d'autre choix) afin de m'assécher complètement. Lorsque tout fut terminé, je laissais retomber ma jupe sur mes jambes et mon sexe nus. Mais cela n'avait pas une grande importance car je n'avais plus qu'à prendre mon ordonnance, payer et rentrer chez moi. Personne ne saurait que j'étais sans culotte. Je pliai soigneusement le fin tissu sale et fortement mouillé et le fis glisser au fonds de mon sac à main. Je revins dans le cabinet, laissant ma cuvette immonde, et rejoins mon cher médecin. Il tapotait toujours sur son ordi.. Je m'assis face à lui, sentant le contact du siège sous mes fesses dénudés. Cela m'excita à nouveau. Etre là, cul nu, face à cet homme, inconnu, qui ne savait rien (du moins, le pensais-je)!... Quel délice, quel fantasme! L'homme releva enfin son nez et ce qu'il me dit me tétanisa : -J'ai vu que vous aviez une petite mycose à un doigt de pied. J'ai un produit ici. Je vais vous en mettre tout de suite. -Je, heu,... Si vous voulez, je, heu,... je le ferai chez moi, répondis-je, soudain très inquiète. -Ne soyez pas bête. J'en ai pour deux secondes, dit-il sur un ton péremptoire. Allez-vous réinstaller sur le siège, j'arrive tout de suite. Et quittez vos bas, bien sûr. Je ne pouvais pas faire cela. Il ne manquerait pas de découvrir ma nudité. Lorsqu'il prendrait mon pied comme tout à l'heure, obligatoirement, il verrait mon sexe déculotté. Et là, nul doute que je passerai à la casserole. Jamais, je ne pourrais ...