1. Le Podologue


    Datte: 01/12/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: Levisse, Source: Literotica

    ... solitaires et que je mouille énormément... Inutile de vous dire que la couleur dominante, devant comme derrière, n'était plus du tout le blanc. J'avais honte de moi. Je portais le fin et délicat tissu à mon nez et l'odeur me suffoqua pratiquement. C'était abominable. Je fis mon petit pipi et décidais de prendre un maximum de papier hygiénique pour me nettoyer la vulve et l'anus le mieux possible, mais c'était vraiment très léger...
    
    Je me dis, qu'après tout, si je faisais bien attention en serrant bien mes jambes, j'arriverais à cacher mon intimité secrète aux yeux d'un praticien qui, de toute façon, ne serait certainement pas intéressé par ma lingerie.
    
    C'est donc presque rassurée que je sonnais quelques minutes plus tard à la porte de ce monsieur. C'est lui même qui m'ouvrit, n'ayant visiblement pas de secrétaire. Il me fit patienter seule quelques courts instants dans la salle d'attente où il m'offrit un thé et revint me chercher.
    
    L'homme avait une quarantaine d'année et ne m'inspira pas de crainte particulière. J'écartais de mes pensées la gêne d'être éventuellement découverte par son regard professionnel.
    
    Il me fit asseoir à son bureau et me demanda ce qui m'amenait. Je lui expliquai que la plante de mes pieds me faisait souffrir les jours de grande chaleur notamment.
    
    -Bien, nous allons examiner cela. Passez dans la pièce à côté, retirez vos collants et allez vous installer sur le fauteuil. Mettez-vous à l'aise, détendez-vous, je ne vais vous faire que du ...
    ... bien.
    
    Le fauteuil me fit penser à une table de gynécologie et cela me gêna immédiatement. M'allonger, en robe courte face à cet homme ne pouvait qu'être ambigu. Il allait sans doute s'imaginer des choses à mon égard et peut-être me prendre pour une fille facile.
    
    Il resta près de moi, me regardant retirer mes bas, ce que je trouvais immédiatement indécent. Je montais lentement sur le fauteuil en prenant garde de tenir mes genoux serrés, mais c'était très difficile. Le regard de mon « médecin » paraissait intéressé par mes cuisses blanches.
    
    Dès que je fus allongée, il actionna le fauteuil qui monta et s'inclina. Je me retrouvais la tête largement en dessous du niveau de mes hanches et cette situation me mit immédiatement en position d'infériorité et de soumission.
    
    Je craignais maintenant le pire. Il s'installa sur un siège juste à hauteur de mes pieds. C'était certain, tôt ou tard, il verrait ma culotte. Et il verrait sans doute même qu'elle n'est pas uniformément blanche, mais que le long week-end y avait laissé des traces évidemment peu ragoûtantes. Il était même inévitable qu'il sentirait les odeurs qui ne pourraient pas manquer de remonter de sous ma robe si courte.
    
    Tenir mes jambes serrées. Tel était mon seul objectif.
    
    Il attrapa mon premier pied, le souleva et commença à l'examiner. Puis il essaya de le tourner. Ce geste ne pouvait que me faire entrouvrir les cuisses et découvrir tout en haut de celles ci le léger tissu blanc, transparent, sale et odorant. ...
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