1. COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (3/10)


    Datte: 30/11/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... en étant dans une pièce sans fenêtre, mais avec une grande glace nous permettant d’observer nos suspectes, les débuts d’aveu.
    
    Si j’étais dans cette situation, je pousserais mon avantage d’un début d’aveu.
    
    Mais là, si je suis trop brusque, elle risque de se refermer comme une huitre à la vue d’une étoile de mer.
    
    Et si je suis trop tendre, elle peut biaiser sa réponse, alors que, n’oublions pas, c’est ma porte d’entrer pour poursuivre ma mission d’infiltration.
    
    Dois-je risquer de là compromettre pour une partie de broute-minou, même si les récentes femmes que j’ai fréquentées m’ont donné bien du plaisir ?
    
    Essayer de faire repartir les confidences en posant une question qui peut paraitre anodine en rapport de ce qu’elle a dit dans le début d’une confidence.
    
    • Je t’ai menti lorsque je t’ai dit que tu étais la première à m’embrasser sur les lèvres.
    
    J’ai tout perdu mon mari, mon fils et ma situation comme femme mariée à cause d’une fille que j’avais rencontrée dans une soirée ou mon mari était invité.
    
    • Tu as un fils et je crois comprendre qu’on te l’a arraché !
    
    • Oui, cette femme, je l’ai revu et revu, mais mon mari nous a surpris.
    
    Hamed m’a pris mon fils et il est reparti à Alger avec lui.
    
    Je me suis retrouvée à la rue et contrainte à trouver à me démerder pour vivre, étant sans le sou.
    
    • Tu avais épousé un Arabe A1egérien !
    
    • Oui et sur le ton de la plaisanterie, il ...
    ... m’avait dit le soir de nos noces avant la naissance d’Adbdoula que si je le trompais, il partirait avec lui et que je ne le reverrais plus.
    
    J’ai ignoré son avertissement, surtout avec une fille, mais je me mettais le doigt dans l’œil.
    
    • Et la femme, elle t’a larguée, elle aussi !
    
    • Non, elle est infirmière en Afrique, le jour où mon mari nous a surprises, elle était à la veille de retourner dans sa mission.
    
    Sœur Aline, était en vacances et c’était la fin de celle-ci.
    
    Au moment de partir, lorsque Hamed la foutait dehors, elle a eu le temps de me promettre de l’attendre, tu comprends mon semblant de revirement.
    
    J’ai eu un instant de faiblesse.
    
    (Note de Chris71).
    
    Aux gros pervers, femmes ou hommes, qui espéraient que Martine, broute la chatte de Justine, en même temps qu’elle lui caressait les seins.
    
    Même sans être gros, mais pervers, avant que Justine récupère un gode, ceinture, objet familier à Justine et se trouvant dans sa chambre.
    
    Qu’avec l’une après l’autre nous nous défoncions les parties intimes jusqu’à nous faire jouir l’une après l’autre, ils en seraient pour leurs frais.
    
    (Fin de la note de Chris71)
    
    • Depuis j’attends qu’Aline revienne.
    
    En buvant mon café, les jambes sagement rangées parallèlement ainsi que maman me l’a appris.
    
    Sur la table des livres, je vois le titre de l’un d’eux.
    
    « Méfie-toi. » d’Harlan Coben.
    
    • Toi aussi, tu aimes les polards !... 
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