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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Mannequins les colombes enlacées (3/10)
Datte: 30/11/2025, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... depuis... • Depuis... Continue Justine, tu sembles avoir un gros secret ou état de fait sur la conscience, tu es pleine de retenue. Nous venons de rentrer dans un vestibule bien plus accueillant que l’entrée de la maison qui m’a été réservée par mon administration. Déjà c’est clair, moi c’est sombre, il y a une lampe au plafond qui est grillé et le papier pain doit dater de la Seconde Guerre mondiale. Des fleurs violettes genre magnolia, on voit le genre. • Assieds toi là, je vais faire du café, tu aimes le café ou préfères-tu un thé, mais avant, je vais tous t’expliquer ? Dès la porte refermée, je m’attendais à un emballement de nos rapports, Justine me montrant un grand empressement. Je sens qu’elle s’est reprise. Comme l’on dit, j’ai l’impression de prendre un vent, comme j’en avais pris un avant Jules, à l’école de police, j’avais flaché sur un beau jeune homme. J’étais prête à me donner à lui, mais un soir, montant dans nos chambres, j’ai entendu parler dans le couloir où j’allais m’engager. Fabien, il s’appelait Fabien avait coincé un autre élève Sébastien et le collait sur le mur, sa main à la hauteur de sa braguette. J’ai jeté un coup d’œil pour voir, m’étant arrêté, Fabien tout en continuant à embrasser l’autre garçon a ouvert la porte de sa chambre et a poussé celui qu’il convoitait à l’intérieur. Je venais de m’apercevoir, qu’un homo savait reconnaitre un autre homo alors qu’à aucun moment, je n’ai détecté la moindre parcelle ...
... d’homosexualité de la part de Fabien. Bien sûr au fil de mes aventures qui commencent à être conséquence, j’ai de mon côté été obliger de constater que j’aimais autant les garçons que les filles. J’ai abdiqué devant ce que je pensais être un Annapurna de l’amour, j’ignore ou l’un comme l’autre ils sont devenus, sont-ils restés dans la police, sont-ils en couple, grand bien leur face. Ce qu’il y a de sûr, la porte refermée, je suis passé devant la pièce où ils étaient rentrés, lorsque j’ai entendu, « encore, encore, encore. » Si j’étais passée sans les voir préalablement dans ce couloir, lorsqu’il devait sodomiser son copain, les « encore » venant de la voix de Sébastien. J’aurais pu penser que ce dernier s’occupait de la chatte d’une de mes copines de promotion. • Voilà une tasse, veux-tu du sucre ? • Je te sens empruntée depuis que nous sommes arrivées, tu sembles t’être éloigné de moi, alors que lorsque je t’ai embrassé sur le banc pour te libérer de ce dragueur de bas étage, tu étais prête à t’enflammer ! • Ça c’est vu tant que ça, oui, Martine tu as raison, c’est d’ailleurs ça qui m’a coûté mon mariage, la perte de mon fils et la situation dont je me suis retrouvée. Je t’ai menti lorsque je t’ai dit que tu étais la première à m’embrasser sur les lèvres. Mais tu vois, même là je m’enflamme et ça risque de me valoir des ennuis, je ferais mieux de me taire. C’est ce qui pour moi, ayant appris à l’hôtel de police à conduire un interrogatoire, ...