1. Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 18


    Datte: 30/11/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: Walterego, Source: Literotica

    ... mais l'essentiel est que l'attentat a échoué ! Vous resterez bien avec nous jusqu'à la visite de Loubet, mon cher Gunther?»
    
    Quand Kathleen fut introduite dans la chambre de Luise à l'ambassade, elle fut surprise de découvrir que l'altière Gräfin dormait encore à poings fermés.
    
    « Max a dû s'en donner à coeur joie hier soir et cette nuit » se dit-elle en s'asseyant sur le lit à baldaquin. Elle repoussa le drap et la couverture qui enveloppaient Luise et découvrit qu'en effet la jeune femme était effectivement entièrement nue.
    
    Examinant attentivement le corps nu, elle découvrit que les lourds seins de Luise étaient couverts de traces de dents et qu'un peu de sang séché maculait le haut de ses cuisses.
    
    « Cela a vraiment été la fête charnelle cette nuit ... et qui aurait cru que Max était un amateur de morsures? Même les tétons sont enflés. »
    
    Luise frissonna de froid et commença à s'éveiller. Elle poussa un petit cri en découvrant Catherine à son chevet et tenta de se couvrir mais Catherine tenait fermement le drap.
    
    « Kathleen, que faites-vous... Laissez-moi les draps ou passez-moi ma robe de chambre ! »
    
    La Prussienne ne pouvait s'empêcher de la traiter en servante, ce qui excita les mauvais instincts de la Française.
    
    « Pourquoi faire? Je vous trouve tout à fait désirable Luise. Je sens que nous n'allons pas nous ennuyer en attendant nos hommes ! »
    
    « Mais ... NON ... que faites-vous? »
    
    Les grandes mains musclées de l'infirmière s'étaient emparées des ...
    ... seins de Luise et les malaxaient avec gourmandise.
    
    « Arrêtez ! Cela fait mal !» gémit la suppliciée en essayant de bloquer les mains de Catherine avec les siennes
    
    Prise d'une inspiration soudaine, Catherine répliqua
    
    « Tu dois apprendre à aimer la soumission et la douleur. Le Maître m'a ordonné de te préparer pour accepter tous les sévices que Max va t'infliger. Tu vas aimer avoir mal quand ton homme prendra son plaisir avec ton corps. »
    
    « Nooon, pitié ... Max a mordu mes seins et il m'a violenté brutalement »
    
    « Tu es une Junker. Tu dois te soumettre aux désirs de ton seigneur et maître ! »
    
    Excédée par la résistance de Luise, Catherine la retourna comme une crêpe avec l'aisance d'une infirmière habituée à manipuler des corps plus ou moins inertes. Elle rabattit les bras de la jeune femme dans son dos et attacha ses mains avec la ceinture de sa robe. Luise sanglotait, la tête dans l'oreiller et Catherine en profita pour faire le tour de la pièce, récupérant au passage une large ceinture de cuir masculine et quatre cordons de rideaux. Elle refit basculer l'Allemande sur le dos, coinçant définitivement ses mains en-dessous d'elle. S'asseyant sur le bassin de sa captive, elle lia un pied à un des montants du baldaquin avant de s'attaquer à l'autre côté.
    
    Une fois Luise immobilisée, elle alla fermer la porte à double tour avant de se déshabiller elle-aussi.
    
    « Je vais crier » sanglota Luise « On va venir à mon secours et ce sera le scandale ! »
    
    « Vas-tu te ...
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