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La duchesse de Fougeroles
Datte: 29/11/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: descollages, Source: Hds
... de plaintes langoureuses dont je tairai ici les mots orduriers lâchés inconsciemment. Bien entendu, elles mirent quelques minutes avant de récupérer, secouées par un cyclone charnel vécu l’unisson. Violaine roula sur côté tout en libérant ainsi la fente encore gluante d’un liquide translucide et odorant. — Viens me débarrasser de cette chose odieuse ! Finit par ordonner la duchesse remplie de culpabilité. Au bout d’une minute, encore toute engourdie, Manon se leva avec mollesse et détacha d’une main sûre les lanières de cuir serrées à la taille de sa maîtresse. Profitant de ce moment pour saisir l’objet du vice, elle le caressa longuement puis lécha son propre nectar qui brillait sur toute la longueur. — Je crois que l’on va bien s’entendre toutes les deux. À partir de maintenant, tu seras ma servante attitrée. Aucun homme ne pourra t’approcher à moins de dix pas. Chaque fois que ce sera l’heure du thé, tu auras intérêt à te tenir prête… Est-ce bien compris ? énonça la duchesse sur un ton dominateur. — Bien madame ! Se contenta de répondre la bonne en baissant les yeux en signe de soumission. — Maintenant que les choses sont claires, va me vider cette baignoire et me la remplir d’une eau tiède et limpide ! Nous allons faire un brin de toilette à tour de rôle… Dit Violaine en arrachant des mains l’olisbos de bois usé. — J’y vais tout de suite madame ! Répondit la jeune fille prête à se lever. — Ah encore une chose… Allonge-toi sur le ventre, j'ai une ...
... dernière chose un peu spéciale à faire ! Dit la duchesse d’une voix énigmatique. Affalée sur le lit, morte d’épuisement, Manon se mit à plat ventre sans discuter. Elle sentait encore son petit fruit d’amour lui brûler l’entrejambe. Durant un moment, ses fesses luisantes et rebondies accueillir plusieurs caresses divines effleurant sa peau. — Reste bien tranquille, et surtout ne te retourne pas ! Ordonna Violaine s’éloignant peu à peu du lit en désordre. Discrètement, elle retira une bague en argent de son annulaire portant son sceau. Puis la bourgeoise machiavélique prit une longue pince dans la cheminée. Il va sans dire que son idée risquait d’être un peu douloureuse pour la jeune fille, à des lieues de savoir ce qui se tramait en aparté. La seule chose qu’on entendit, c'est le bruit perceptible de la chair marquée par la bague incandescente. La peau fine reçut à jamais l’empreinte indélébile de trois lettres bien distinctes, dans un petit nuage de fumée vaporeuse. Puis, un cri inhumain s’échappa du fond de sa gorge, étouffé par le traversin épais, dont les motifs rappelaient ceux d’un jardin anglais rempli de roses. Au même moment, le tissu recueillit les premières larmes de la jeune femme encore sous le choc de cette brûlure grandissante. Elle n’osa même pas se toucher de peur d’aggraver la plaie sourde et abominable. — Ne pleure plus, cette vieille sorcière m’a donné un baume cicatrisant à base de plantes, selon elle ce rituel était indispensable pour ...