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La duchesse de Fougeroles
Datte: 29/11/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: descollages, Source: Hds
... entretenues. C’est alors que trois laquais apparurent en file indienne, mains derrière le dos. Ils s'arrêtèrent à quelques mètres de la baignoire ne montrant aucune émotion particulière devant la nudité de Madame. Eux pourtant si jeunes, dix-huit ans maximums et assurément puceaux. — Approchez voulez-vous ! Invita la Duchesse d’une voix avenante. Sans hésiter, les serviteurs obéissants, avancèrent d’un pas. — Plus près je vous en prie ! Insista-t-elle sur un ton agacé. À ce moment, on entendit juste le bruit des gouttes d’eau tomber dans la baignoire. Les deux femmes gloussèrent nerveusement, continuant leur petit manège de caresses sensuelles. — Vous me trouvez jolie ? Interrogea-t-elle sur un ton badin, balayant du regard les trois hommes à son service. À son grand désarroi, nul ne répondit. — Eh bien êtes-vous muets à ce point ? Observa-t-elle en faisant une moue presque enfantine. Puis, Manon se leva avec mollesse en lâchant son éponge dans le bain devenu tiède. Tout en s’approchant des jeunes mâles terrorisés, elle s’accroupit et défit un à un les trois boutons de chacun des pantalons de ses doigts habiles. Trois merveilles de la nature, fièrement dressées, goûtèrent un instant de liberté en prenant l’air de la pièce. Elles étaient grosses, fermes, vigoureuse… De véritables friandises indécentes se dressaient devant le visage de Manon restées genoux pliés sur ses talons. — Vas chercher mon prie-Dieu ! Ordonna sa maîtresse tout en ...
... pinçant ses lèvres fines Dans l’instant, la bonne se leva tout en frôlant le laquais au milieu. Elle lui murmura des mots tendres inaudibles qui le firent tressaillir. Puis Manon se dirigea dans un coin de la chambre dans la pénombre. Enfin, elle ramena le petit meuble de velours écarlate tout en se mordillant le doigt. Ses yeux brillaient de désir dans l’obscurité, et fixaient avidement les membres toujours gonflés des serviteurs droits comme des I. En quelques secondes, elle s’installa à genoux sur le tissu rebondi comme pour psalmodier "je vous salue Marie", mais au lieu de cela… Manon plaqua d’une main les fesses de Bertrand pour l’approcher davantage. Sa queue se posa machinalement sur la barre horizontale en bois vernis, juste au niveau de ses lèvres. — Frotte-toi un peu dessus, tu veux ! Dit-elle en inclinant la tête sur la gauche pour mieux admirer plus en détail les contours de son gland renflé. La verge toute violacée de désir n’attendant plus que d’être cajolée par une langue délicate. Il faut dire que Manon connaissait parfaitement les zones sensibles de l’appendice masculin. Il fallait toujours commencer par la base du gland, au niveau du sillon préputial. Cette technique se révélait infaillible. — Comment est-il possible que vous suçassiez de la sorte ma chère ? S’interrogea la duchesse, éberluée par un tel talent, qui aurait pu faire ombrage à la dernière des dépravées payée pour le faire. — Madame, pourriez-vous arrêter de formuler vos ...