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Journal d'un monstre 2
Datte: 25/11/2025, Catégories: #journal, #adultère, #différencedâge, #enseignant, fh, fplusag, extracon, profélève, amour, dispute, caresses, Oral Auteur: Rainbow37, Source: Revebebe
... vagin pour me préparer au plaisir à venir. Puis, sa langue a trouvé ma vulve, la touchant, la léchant, la dévorant avec une frénésie qui me laissait sans voix. Je me suis mise à gémir plus fort, ma main agrippant le drap. Mes contractions se sont intensifiées, la tension monta, monta, jusqu’à l’explosion. Un orgasme puissant a secoué mon corps. Je me suis effondrée sur le lit, le souffle court, les muscles tendus par la puissance du plaisir. Je n’avais déjà plus aucune force. J’étais encore dans les nuages, quand j’ai senti ses mains fermes me saisir à nouveau. En une fraction de seconde, il s’est positionné, prêt à me pénétrer. J’ai senti la pointe de son sexe contre mon entrée, chaude et humide après sa langue. Je sentais aussi qu’il se maitrisait, qu’il prenait soin à ne pas me faire mal. Il s’est enfoncé lentement, progressivement, comme pour m’habituer à sa présence. Puis, d’un coup, j’ai senti sa colonne de chair entrer en moi, jusqu’au bout. La sensation était si pleine, si intense, que j’ai failli jouir à nouveau. Il s’est arrêté pour lâcher quelques mots inaudibles, des murmures de soulagement et de désir, sans doute, avant de me serrer plus fort contre lui, de marquer sa présence, de graver sa possession dans ma chair. Et là, j’ai entendu cette confession à mi-voix : « J’ai attendu ce moment pendant des jours. » Une pause, un silence chargé de sous-entendus, puis : « Ton cul… Je le regardais en cours, je le voulais, avec tant d’envie, une obsession… jour ...
... et nuit. » Ses mots, directs, bestiaux, m’ont fait l’effet d’une décharge. Être désirée ainsi, aussi crûment, aussi sauvagement, était si excitant, si jouissif. Je me délectais de cette confession. Alors, j’ai glissé un regard par dessus mon épaule, relevant mon bassin vers lui, et avec un petit sourire, ma réponse a fusé, coquine et aguicheuse : « Alors, bouge-le, ce cul, mon élève, donne-moi ce que je veux, prends-moi, fais-moi jouir. » Ses mains ont agrippé mes hanches avec une force nouvelle, et il a recommencé à me prendre, son bassin se heurtant contre mes fesses avec une détermination sauvage. Je voulais qu’il me baise, que son sexe me déchire et me comble, c’est ce qu’il faisait, sans aucune retenue. Les muscles de mes fesses se contractaient et se relâchaient en synchronisation avec ses coups de reins puissants. J’avais du mal à respirer, chaque coup me faisant perdre un peu plus le contrôle, la sensation était à la fois incroyable et épuisante. Je sentais que j’approchais d’une limite que je ne pourrais pas résister plus longtemps. Quand sa jouissance est venue, elle a été si violente que son corps tout entier a vibré. J’ai accueilli sa venue comme une délivrance, un abandon total, pour enfin m’écrouler, vaincue, sur le lit. Vincent est resté immobile quelques instants, le souffle court, son corps chaud contre le mien. Puis, il a remonté ses mains le long de mes bras, jusqu’à ce que nos doigts s’entrelacent. Ses doigts dans les miens. C’était si doux, si ...