Justine (La Digne) 03 - Histoires de Sexe

Justine (La Digne) 03

... crier son plaisir. Un jet de sperme heurta le fond de son palais, l'intensité de sa jouissance en fut décuplée. Mue par un désir d'avilissement incontrôlable, elle ouvrit la bouche en grand et avala le pénis qui finissait de décharger sa cargaison de foutre. Elle aspira le membre encore rigide et pressa les couilles pour extraire le plus de jus possible.

Lorsque l'escargot se rétracta, elle s'adossa au mur et, les jambes flageolantes, se laissa glisser sur le carrelage, manœuvre facilitée par l'énorme quantité de jeune foutre qui recouvrait son dos. Submergée par les vagues de plaisir qui parcouraient son corps, elle saisit les pointes de ses seins et les tordit pour prolonger l'état de jouissance. Elle cria à nouveau.

-Aaaaaaaaaaaaaaah, ouiii! Je jouis, j'orgasme, je vis! C'est bon. C'est si bon!

Son cœur battait la chamade, son bas-ventre était animé de spasmes violents, elle ne savait plus où elle était. Lorsqu'elle émergea, elle se trouva affalée sur le carrelage, dans un état de léthargie profonde, sans aucune envie de bouger. Elle réalisa que sa bouche était remplie de sperme. Elle le recracha dans sa main et fit tourner sa langue pour récupérer le reste qu'elle goûta par curiosité.

- Mais c'est pas mauvais! Ca a le goût de l'humus après la pluie. Et cette consistance gluante, on dirait du lait concentré pas sucré. Ca se laisse déguster.

Elle arrondit sa bouche et aspira le contenu de sa main comme si c'était un spaghetti. Elle pencha la tête en arrière ...

... et se gargarisa en émettant un bruit de mitraillette. Pour finir, elle avala le tout en déglutissant avec délectation. La honte finit par l'envahir.

- J'étais un paillasson à foutre, maintenant je suis aussi un sac à foutre. Comment ai-je pu tomber si bas. Si vite. Hors de question que je raconte ça à l'abbé. Je dirai une prière ce soir. Au moins, je ne peux pas tomber plus bas...

Elle ne finit pas sa pensée, un liquide chaud venait de réveiller son clitoris.

- Aaaaaah, qu'est-ce que...le...le vieux, il...il me pisse dessus!

A sa grande surprise, la chaleur provoqua une onde de plaisir qui fut décuplée par le sentiment d'humiliation d'être prise pour une vespasienne. Les sensations prirent le dessus sur la honte, elle se caressa brièvement et son corps explosa à nouveau.

- Aaaaah, aaaaaah, l'eau chaude sur le clito, c'est de l'huile sur le feu. Aaaaaaaah...

Lorsqu'elle fut redescendue de son nirvana, elle se releva pour contempler dans la glace son visage décoré de crème.

- Moins qu'hier et plus que demain. C'est la vie.

Elle fut brusquement envahie par une honte intense. Son corps montrait tous les signes d'une jouissance extrême. Les yeux cernés et voilés, les mamelons durs et rigides, les lèvres de son sexe rougies, la chair de poule, tout attestait du plaisir dans lequel elle s'était vautrée. Mille pensées se bousculaient dans sa tête. Une s'imposa à elle.

- Tu n'es qu'une immonde salope! Tu te fais arroser dessus par n'importe qui et tu n'as ...