Sans Consentement - Joséphine 03 - Histoires de Sexe

Sans Consentement - Joséphine 03

... canne sur chacun de tes pieds.

— Merci, Déesse, de me punir.

— Tu vois, tu apprends vite.

— Oh oui, je suis toute à vous, je vous aime!

Charlie fut surprise par cette déclaration ; sans doute les endorphines, mais c'était plaisant. La plante des pieds de Joséphine était parfaitement tournée vers le plafond, et c'est avec méthode que Charlie les mit en sang, attendant un remerciement à chaque coup, souvent imperceptible au milieu des sanglots de sa victime. Joséphine était perdue dans un océan de souffrance, se remplissant à chaque coup de sa dépendance à Charlie et, paradoxalement, d'une dévotion croissante.

Charlie n'était pas complètement sereine quant aux prochaines étapes ; c'était la partie vraiment risquée de son plan.

11. 14 septembre 2023

Jean-Charles, nu et encagé depuis plusieurs semaines, attendait sa Maîtresse, à genoux dans l'entrée de son appartement. Depuis la disparition de sa femme, Élodie était devenue tyrannique, comme si l'absence de Joséphine lui laissait libre cours à ses désirs et fantasmes. Il en subissait les conséquences, mais en était ravi ; cela lui permettait de maîtriser l'anxiété qui le rongeait et de s'abandonner à sa véritable nature. Il aurait voulu que cela soit toujours ainsi, mais Joséphine ne l'avait jamais laissé tranquille, et il avait développé une vraie dépendance à son égard aussi. Déchiré entre les deux femmes, il trouvait la situation plus simple désormais. Sa chasteté imposée le rendait fou de désir pour ...

... Élodie, qui en jouissait, comme d'une revanche. Elle était peu sujette aux scrupules.

Ils avaient regardé de nombreuses fois la vidéo, et, une fois le choc passé, Jean-Charles avait partagé l'excitation perverse de sa Maîtresse, lui prodiguant de longs cunnilingus pendant qu'elle regardait, jouissant à de multiples reprises. Elle le pénétrait avec son nouveau gode, très large, tandis qu'ils étaient tous les deux face à l'image de sa femme. Jean-Charles, perdu dans son désir inassouvi de jouir, et Élodie, dans sa revanche et la haine qu'elle ressentait pour Joséphine, haine dont elle n'avait pas pris conscience auparavant. Pour elle, c'était comme une libération d'avoir vécu sous le joug du désir de cette jeune fille, simplement parce qu'elle était riche, alors que les trois autres ne l'étaient pas! Elle réalisait aussi qu'elle aurait pu finalement organiser tout cela, mais ce serait comme tuer la poule aux œufs d'or. Et elle n'avait ni les capacités, ni l'argent, ni l'imagination pour tout cela.

— Tu sais que les flics m'ont interrogée sur l'argent liquide que Joséphine retirait toutes les semaines?

Élodie entra dans l'appartement et attrapa son « chien » par sa laisse pour l'installer, comme à leur habitude, entre ses cuisses, le regard adorateur levé vers elle.

— Tu crois que c'était un hasard?

— Oui, je pense. Ils ont fait la même chose avec Jenna, elle me l'avait dit.

— Tu leur as répondu quoi?

— Quand tu m'en as parlé, je me suis dit qu'ils verraient que ...