La Collaboratrice 8/8 - Histoires de Sexe

La Collaboratrice 8/8

... du gland se posa sur sa rondelle en étoile. La soumise avait l'habitude de se faire prendre le cul. Mais quand le reptile noir insista à l'entrée et finit par écarter l'ouverture Erin comprit que la pénétration serait éprouvante.

La taille du sexe qui voulait la prendre n'était pas ordinaire. Les chairs anales se dilatèrent mais Erin commença à se plaindre, à gémir. L'autre black regardait la scène en branlant sa colonne veineuse. Mais quand l'énorme queue glissa dans l'anus, Erin gueula. Des larmes coulaient sur son visage émacié tandis que le second homme se servait de sa longue bite pour la gifler.

La masse du sexe frappait durement les joues de la soumise qui souffrait. Sans aucune empathie pour elle, son enculeur s'enfonça jusqu'à la garde. Il claqua les fesses et ressortit de l'anus pour mieux y retourner. La chauve hurlait de sa voix éraillée.

La bite noire continuait à matraquer son visage. L'autre perforait son orifice anal. Chétive entre les deux immenses corps noirs, la jeune femme à la peau claire gardait son équilibre à quatre pattes.

Puis, la verge qui la giflait s'introduisit dans sa bouche et, comme sa compagne dans le cul, elle s'enfonça sans compassion pour la soumise qui étouffait. Enculée et acculée, Erin lança un coup d'oeil à Chira. L'italienne suçait la queue d'un homme.

L'enculeur sortit de l'orifice et gifla plusieurs fois les petites fesses rondes de la petite blanche. Il se posta à côté de son comparse qui forrait la gorge de la ...

... soumise qui éructait en de monstrueux borborygmes. Il gifla à son tour le visage d'Erin et, dès que son compagnon éjacula dans la gorge, il le suivit en se répandant sur le visage.

Chiara branlait un homme. Un roux pas très grand. L'italienne le préparait avant qu'il rejoigne Erin. La brune lançait des regards pervers à Arnold installé au fond de la pièce. Le pauvre vieux bandait comme un âne en observant la scène libertine.

Le roux allongea Erin sur le dos et la prit directement. Erin, bien qu'habituée à ce genre de soirées, ressentait une gêne croissante dans sa gorge, une douleur persistante qui la perturbait.

La soirée se poursuivit ainsi, chaque homme rejoignant Erin après avoir reçu l'approbation de Chiara. Chaque homme cherchant quelque chose de spécifique dans cette rencontre. Erin tentait de satisfaire chaque demande malgré l'inconfort croissant dans sa gorge.

La soirée terminée, Arnold se prépara à ramener Chiara et Erin. Ils montèrent en silence dans la voiture. Erin, visiblement épuisée, fixait le vide. Arnold, au volant, jetait des regards dans le rétro, intrigué par son air abattu.

-- Mademoiselle Erin, votre gorge vous fait toujours souffrir? Vous devriez peut-être faire des analyses, lança-t-il calmement, brisant son habituelle réserve.

Erin releva les yeux, un peu surprise.

-- Merci, Arnold. Vous avez raison, je vais consulter, murmura-t-elle, sa voix encore rauque.

Chiara posa une main légère sur son bras.

-- T'inquiète pas, Erin. ...