Il jouait Beethoven - Histoires de Sexe

Il jouait Beethoven

... autoritaire, elle m’attrape par les poignets et me fait glisser sur le couvercle du piano, couchée sur le dos, la tête basculée en arrière au-delà du rebord de l’instrument. Elle écarte mes mains de mon sexe et me force à écarter les jambes afin que ma vulve soit bien visible. Je suis sidérée par cette façon décomplexée d’abuser de moi, qui n’est pas sans rappeler les habitudes licencieuses de son beau-père. Mais son regard gris profond m’hypnotise irrésistiblement. Je ne peux pas résister à ses élans vicieux consistant à m’obliger à exhiber sous le regard d’inconnus ce qui me fait en même temps mouiller et rougir de honte.

— Rappelle-toi que tu es ma petite poupée dévergondée, me murmure-t-elle à l’oreille. Je fais de toi ce que je veux.

Elle abaisse elle-même la braguette de son invité pour extraire du slip la verge déjà bandée qu’elle insère jusqu’au fond ma bouche ouverte en grand, en appuyant sur ma nuque. Yasmine regarde cette fellation, un peu gênée. Gilbert arrive avec un plateau et nous sert le café accompagné de petits gâteaux. Imperturbable, il repart ensuite comme il est venu. Tout en tenant sa tasse d’une main, l’homme me pelote les seins de l’autre alors que je suis la seule à ne pouvoir rien boire.

— Nous sommes donc d’accord pour un prix de huit cent mille euros, hors frais d’agence et de notaire, demande Maria ?
— Huit cent mille ? Je croyais qu’on avait dit six cent mille, à l’agence, répond l’acheteur avec une évidente mauvaise foi. Bon, on ...

... pourrait se mettre d’accord sur sept cent mille ?
— Voyons, Monsieur, cette maison possède quatre cents mètres carrés habitables, plus un jardin de mille mètres carrés avec des arbres centenaires ; elle a toujours été parfaitement entretenue et se trouve dans un quartier calme et peu éloigné du centre-ville. De plus, elle est vendue avec ses meubles, notamment une bibliothèque contenant des livres anciens, et ce piano. Vous n’allez quand même pas croire que je vais vous brader tout cela ?
— Bon, euh, d’accord pour huit cent mille, dit-il en faisant un gros effort pour paraître impassible tandis qu’il éjacule dans ma bouche une grosse quantité de semence épaisse. Vous êtes dure en affaires, à votre âge ; vous irez loin. D’ailleurs, vous jouez merveilleusement bien du piano. Pour ma part, je ne ferai rien de ce magnifique instrument. Vous pouvez le garder, si vous avez de la place là où vous habitez.
— Je vous remercie : il représente pour moi beaucoup de souvenirs et cela m’évitera d’en acheter un autre. Voulez-vous que je vous fasse visiter la maison ?
— Volontiers. Je vous suis.
— Tu viens avec nous, Julie ? Non, ce n’est pas la peine de te rhabiller. Ma maison est bien chauffée.

Nous terminons la visite par le sous-sol, où se trouve ce que Pierre appelait « la chambre des plaisirs », avec notamment la chaise vibrante de son invention. Quand l’acheteur demande ce que c’est, Maria le lui explique et lui propose une démonstration en se servant de ma personne : je m’y ...