1. Le miroir aux alouettes (2)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... Pourtant ses doigts restaient collés à mon entrejambe. Je tendais alors la main vers l’appareil.
    
    — Allo !
    
    — Ah, ma chérie, j’avais peur de te réveiller. Tout se passe bien chez nous ?
    
    — Jean… mais tu sais bien que j’attendais ton appel. Je n’aurais pas bien dormi sans entendre ta voix.
    
    — Tu me manques…
    
    — Il n’y a donc pas de petites avocates avec vous ?
    
    — Si, mais pas forcément petites… tu imagines bien qu’elles sont déjà toutes en main.
    
    — Ah bon ? Mais je croyais que les avocats étaient du genre partageur… si tu vois ce que je veux dire.
    
    — Tu m’en veux encore pour cette histoire ?
    
    Entre mes cuisses, une patte à la limite de ma chatte venait de pincer un peu la chair. Marc s’énervait ? Peur que je déballe à mon mari ce que nous allions faire ? Il devait y avoir quelques relents de cela dans cette crispation… L’étau se desserrait un peu dès lors que je continuais sur un ton badin.
    
    — Bon ! Trêve de plaisanteries, tu me manques aussi. Si tu étais là… nous ferions des cochonneries ?
    
    — De quel ordre ? Oh… dis le moi…
    
    — Attends mon chéri, je vais poser l’appareil et garder le haut-parleur ouvert ! Je me réserve la possibilité de jouer un peu avec mes doigts… tu permets, n’est-ce pas ?
    
    — Oh oui ! Mon amour… tu veux bien que nous fassions l’amour au téléphone…
    
    — Si je le veux ? Mais j’ai envie de jouir, de soupirer, de crier. Imagine que tu poses tes mains sur mon corps…
    
    — Dis-moi, comment es-tu vêtue ce soir ?
    
    — Ben, tu sais… le ...
    ... déshabillé de la Saint Valentin… et dessous… rien.
    
    — Hum… celui qui est transparent ? Je l’adore…
    
    — Oh, tu n’es pas le seul sans doute à l’aimer… après, dis-moi, ce que tu vas me faire…
    
    Et avait alors débuté un jeu étrange. Marc, sans faire le moindre bruit, suivait à la lettre les péripéties qu’énumérait Jean. Sans savoir que son ami me caressait exactement comme il l’aurait fait lui-même s’il s’était trouvé là ! Et mes gémissements s’envolaient vers mon mari par le biais du combiné. Lui également avait au bout d’un moment le souffle court. Sans doute se masturbait-il dans sa chambre à Lyon. Par contre depuis quelques minutes, Marc pour ne pas se trahir avait enfoncé sa caboche dans le pont de mes deux cuisses largement ouvertes.
    
    Sa langue allait et venait sans régularité, léchant mes grandes lèvres dans un baiser enflammé. Je serrais alors les jambes pour empêcher cette frimousse si bien placée de ressortir, contraignant Marc à aller plus profondément en moi. Tous mes sens étaient en éveil et je jouissais de cette situation assez cocasse. Jean et son ami de nouveau après moi, alors que huit cents kilomètres les séparaient. Au bout d’un temps incroyablement long, mais que je n’avais pas vu filer, mon mari raccrochait. Soulagé, il pourrait dormir sur ses deux oreilles.
    
    Marc et moi n’en avions pourtant pas fini. Je voulais que ma vengeance soit totale et celle-ci nécessitait un accomplissement intégral. Je me laissais bercer par ses attouchements terriblement ...
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