Qui fait l'ange fait la chienne (5)
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... délices...
Maintenant, le salop lèche méthodiquement mon ventre, mon nombril, descend encore...
Son souffle sur ma vulve...
Il lape mes lippes, retarde encore un peu l’inexorable ravissement. Se focalise enfin sur sa cible ! Il darde, avec une précision diabolique, la pointe de sa langue incroyablement dure, mon clitoris boursoufflé de sève, de sang...
La marée monte, reflux, monte...
Il persévère... Aura-t-il la patience de m’amener à l’orgasme rien qu’avec sa langue ?
Oui, je viens ! Mon Dieu, oui ! La langue vrille toujours, alors que je décolle !
C’est trop puissant, presque effrayant, un abyme sans fond… Je résiste, me tends... La langue ne lâche rien, persévère, triomphe, me déborde, m’envahit...
Je ne m’appartiens plus... L’orgasme me submerge...
Je repousse brutalement Thibaud. Mon clitoris en fusion est trop sensible, la jouissance tellement stupéfiante que je suis intouchable... Mon corps est possédé, agité de spasmes incontrôlables... Illimités…
Les convulsions divines dans mon vagin s’estompent progressivement, ma jambe droite tremble encore, ultime réplique du tremblement d’être. Thibaud, aux premières loges, un sourire conquérant aux lèvres, observe la poupée désarticulée, explosée, réintégrer enfin son enveloppe corporelle... Mon Dieu, quelle déflagration !
Mon splendide taureau est en rut, sa magnifique pine, aussi dure que l’acier, dresse un constat implacable : cette apothéose n’était, en fait, qu’un prélude.
Seigneur, ...
... qu’est-ce qu’il m’a mis ! Dans toutes les positions et sous tous les rythmes.
Un crescendo...
Il vient sur moi. Je l’accueille. L’énorme pine impose patiemment sa légitimité dans mon con. Yeux dans les yeux, Mon Homme me monte. Me surmonte, en extension, si puissant et pourtant si léger, juste soudé à moi par le bassin, ses bras en appui sur le matelas, de part et d’autre de mon buste. J’ai les cuisses largement écartées, les genoux pliés et je profite de l’ascension lente vers le nirvana...
Une suave lenteur, mesurée, la longueur de l’engin parfaitement délayée, le bénéfice de la saillie étirée au maximum, le braquemart coulissant de l’orée de ma fente au fin fond de mon vagin...
Puis, parce que j’en veux encore, l’ampleur fructifiée par une diligence réfléchie, vicieuse, avec de brusques emballements, enthousiastes, ardents, endiablés et enfin carrément frénétiques, furieux, exorbitants, sous un tombereau d’insultes, des qualificatifs partout ailleurs inadmissibles, chienne, pute, truie, que j’encaisse comme le reste...
Des coups de boutoir assénés à la chaîne qui me torpillent, me sabordent. Je gueule, j’ameute tout le quartier...
Je jouis !
Mon corps en convulsion… Je veux m’arracher au séisme, effrayée d’être ensevelie à jamais, mais Thibaud planté jusqu’aux couilles, refuse catégoriquement de me libérer alors que mon con, un étau compulsif, comprime, emprisonne sa pine, prolonge l’acmé, jusqu’au relâchement viscéral...
Après la rétractation, la ...