Qui fait l'ange fait la chienne (5)
Datte: 13/03/2018,
Catégories:
Trash,
Auteur: blueyes, Source: Xstory
... une zone particulièrement érogène, là où le gland rejoint la hampe. Avec le pouce, j’attaque, juste sous la couronne, un lent mouvement de balancier ; en retour, des titillements aériens gonflent mon bourgeon et trahissent à quel point cette caresse est divine. J’explore bien d’autres variations, car sa pine est aussi longue que les nuances de l’extase sont infinies. Quand mon homme sollicite avec plus de vivacité mon bouton de jouissance, je réagis au quart de tour en amplifiant mon mouvement masturbatoire. Sa vélocité m’invite, dans la descente, à enserrer plus catégoriquement la verge, à accélérer encore, à branler le plus vigoureusement possible quand j’arrive à la racine, comme si je me devais de le traire.
Il me félicite :
— Tu es douée, mon gros cul !
Je veux tout apprendre de lui. Tant pis pour le « gros cul » !
Il me soulève, passe ses mains sous ma croupe. Je suis si légère pour lui. Je m’agrippe à son cou, enserre ses reins avec mes cuisses. J’ai l’impression de léviter ! Mon Dieu qu’il est puissant ! Il me plaque contre le carrelage de la douche. Sa grosse pine cherche l’entrée de ma grotte, pousse à côté, file le long de ma fente. Dérape une fois. Deux fois. Ô, oui, vas-y ! Mets-la-moi ! Ça y est ! Il s’enfile ! Je crie ! Il m’ouvre !! Mes parois se dilatent sous la poussée. Je l’accueille ! Il me remplit ! Mon Dieu que c’est bon !
Il remue dans mon vagin détrempé ! Au seigneur ! Ô ! Oui ! Encore ! Encore ! Il lime. Lentement. La position ...
... est loin d’être idéal. Je m’agrippe de toutes mes forces. Ses mains toujours passées sous mon postérieur, il me soulève un peu plus, dans l’intention de me la mettre plus profond. Mais l’engin glisse, à nouveau, hors de ma chatte... C’est frustrant ! Je la veux ! La queue tâtonne... Et s’enfile d’un coup sec ! Ô oui ! Je n’attendais, je n’espérais que ça ! Instinctivement, je comprime les parois de mon con. J’enserre sa grosse pine. Je ne veux plus qu’elle sorte ! Jamais !
Et il aime que je l’emprisonne :
— Ô chienne, qu’est-ce que je vais te mettre !
Nous ne nous décollons plus. Il me porte, et, ainsi emmanchés l’un dans l’autre, nous nous extirpons de la douche, de la salle de bain...
Dans l’étroit couloir, il perd presque l’équilibre, pour ne pas s’extraire, il me cloue contre le mur. Il m’empale. Il rue en moi. Il me bourre la chatte. Mon cul cogne contre la cloison. Je suis au bord de l’explosion. Et ce n’est que le commencement...
Nous repartons. Il me transporte, soudée à lui, empalée sur sa pine, jusque dans la chambre.
L’impétueux me jette sur le lit. Je m’affale de tout mon long, écarte en grand les cuisses, prête à être consommée. Il vient sur moi. J’attends la pénétration. Mais, il dévie vicieusement. Ses lèvres baisent mon cou... Des frissons d’impatience me cambrent, j’arque mon con vers son pieu et tends ma poitrine à sa bouche qui, en récompense, téte, suce un mamelon, puis l’autre, lèche et mordille le téton.
Je suis au supplice des ...