1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, Humour policier, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... reconnais la salle de repos du personnel.
    
    — Vas-y, entre. On ne sera pas dérangés.
    
    Aussitôt la porte refermée, la voilà qui se jette dans mes bras et m’enfonce sa langue jusqu’aux amygdales. Tiens : à en juger par le reflet dans le miroir, sa blouse n’a pas tout à fait la longueur réglementaire, et certains boutons semblent avoir été oubliés.
    
    — Pierrot ! Mon Pierrot ! Tu m’as manqué, tu sais…
    
    « Pierrot… Pierrot… » Le diminutif de Pierre, habituellement. Sauf qu’à part Pierre qui roule, je ne connais personne de ce nom et je n’ai aucune idée de qui est ce type.
    
    — Bon sang ! On était ensemble au bahut ! D’accord, c’était pas hier, mais quand même : Jessica !
    
    Pareil : la seule Jessica que je connaisse est celle qui a eu un bébé. D’ailleurs, depuis ce temps, Jessica Lange.(Oui, je sais, c’est lourd, mais la couche était pleine…)
    
    — Je suis désolé, je suis amnésique et, euh…
    — C’est ça ! Bon, si ton cerveau m’a oublié, j’en connais un qui devrait avoir davantage de mémoire…
    
    Je suis certain que la plus forcenée des bigotes n’a jamais été aussi rapide à se mettre à genoux. Par contre, pour Vanessa, pas question de prière, même si la rapidité avec laquelle elle vient de sortir Popaul de sa prison de toile est assez miraculeuse. Et comme la déesse me pompe divinement, on peut dire qu’on n’en sort pas ! La tornade dure comme ça quelques minutes jusqu’à ce que, toujours sans dire un mot, elle ne se redresse que pour mieux m’expédier sur un canapé qui, à en ...
    ... juger par son moelleux, a connu des jours meilleurs. Là, elle retrousse sa blouse, faisant apparaître une superbe culotte de dentelle jaune au travers de laquelle se dessine un sexe totalement glabre.
    
    La suite est finalement assez prévisible : elle écarte précipitamment la broderie pour s’empaler sur ma queue comme une furie, et nous voilà partis dans une chevauchée héroïque digne des meilleurs films de John Ford.
    
    « Jessica, Jessica… Non, j’ai beau chercher, ce prénom ne me dit rien. » Mais, comme l’on dit, la vérité est ailleurs ; elle se situe pour ma part au niveau de mon entrejambe. J’ai beau essayer de me concentrer pour ne pas exploser trop vite et priver ma belle inconnue de son plaisir – on est gentleman ou on l’est pas, bordel – il n’en demeure pas moins qu’il ne s’agit plus que d’une question de secondes. Jessica s’en rend sans doute compte et, c’est au moment précis où je me déverse en elle qu’elle se libère en un grognement rageur. Tiens, justement, je jurerais que cette façon de grognasser ne m’est pas inconnue…
    
    Pas le temps de réfléchir, elle s’est déjà rajustée. Câline, elle se blottit entre mes bras.
    
    — Viens, je vais te ramener à ta chambre. Mais tu ne vas quand même pas me dire que tu ne souviens pas de moi ?
    — Ben, c’est à dire que…
    — Voyons ! Tu es Pierre Lesage ! On s’est connu au lycée de Versailles !
    — Je suis désolé, mais…
    
    Elle s’énerve. Pourtant, en tant qu’infirmière psychiatrique, elle devrait savoir que la mémoire des amnésiques ne se ...
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