L'amnésique (adoucit les mœurs)
Datte: 21/09/2019,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fbi,
frousses,
voiture,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
attache,
fouetfesse,
délire,
Humour
policier,
aventure,
Auteur: Someone Else, Source: Revebebe
... ligne d’un triathlon olympique.
— Tu es folle, tu sais…
— Peut-être, mais je voulais être fixée. Maintenant, je le suis.
Le temps de me retourner, elle dort.
Aussitôt la porte refermée, je me mets en quête de Marie-Charlotte à qui j’ai quelques explications à demander. Manque de chance, elle est au téléphone. Quelques mots en anglais ; elle me regarde avec amusement puis, mettant sa main sur le combiné :
— Je suis désolée, mais c’est une affaire très importante. Nous parlerons ce soir : Patricia nous a retenu une table dans un petit resto dont vous me direz des nouvelles.
— Ce soir ? Elle sera remise ?
— Oh, très certainement… Je vous rappelle que je suis déjà passée par là.
Décidément, j’en aurais vu de belles, dans cette maison.
—ooo0ooo—
Trois jours plus tard, le contrat est signé. J’ai dû m’exprimer sur les modifications que j’avais souhaité y apporter, mais elles ont été acceptées quasiment telles quelles. Mission accomplie.
Naturellement, nous allons fêter cela dignement mais, pour le moment, nous sommes de retour au château. Exactement comme je m’y attendais, notre voiture n’est pas encore arrêtée que Vanessa est déjà là, une enveloppe à la main.
— Monsieur ! Monsieur ! Ce pli vient d’arriver par porteur spécial !
Faussement surpris, je saisis la lettre qu’elle me tend.
— Cela vous est adressé, Vanessa…
— Justement, je n’y comprends rien ! Qu’est-ce que cela veut dire ?
Derrière moi et malgré leur sourire, les deux femmes ...
... s’efforcent de rester impassibles.
— Cela veut dire, Vanessa, que vous êtes désormais propriétaire de dix pour cent de tout cela, réponds-je en montrant d’un geste le château et le parc.
Marie-Charlotte intervient alors :
— Euh, en vérité, pas exactement. Le château, voyez-vous, je le garde pour moi. Mais dix pour cent des parts de Dubreuil Technologies vous appartiennent, désormais. C’était une exigence de Monsieur.
Vanessa ne perd pas le nord.
— Et vous, Monsieur ? J’ai vu la répartition des parts, et votre nom n’y figure pas…
— C’est ma volonté. Marie-Charlotte et moi allons divorcer, et je partirai avec quelques milliers d’actions de l’entreprise qui me permettront de vivre confortablement jusqu’à la fin de mes jours. Je n’ai jamais eu la folie des grandeurs.
— Divorcer ? Vous avez dit divorcer ?
— Euh… oui, pourquoi ?
— Parce que cela veut dire que vous allez pouvoir m’épouser…
J’en reste comme deux ronds de flan. Sur le chemin du retour, Marie-Charlotte, Patricia et moi avions extrapolé sur les réactions de Vanessa, mais cette éventualité n’avait pas été évoquée.
— C’est à dire que…
Cet instant, je l’appréhendais depuis le jour où Marie-Charlotte est apparue à l’hôpital psychiatrique. Une respiration, et je me lance :
— En vérité, je ne suis pas Claude Dubreuil. Et je ne suis pas amnésique non plus…
Tandis que Vanessa ouvre des yeux ronds. Marie-Charlotte prend la parole :
— Ce monsieur s’appelle en réalité Frédéric Jewel… Il était chargé ...