1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, Humour policier, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... cela ne reste qu’un jeu.
    
    — Je n’en ai pas la moindre idée…
    — Et toi, Patricia, as-tu compté ?
    
    L’intéressée secoue négativement la tête mais, au fond d’elle, cela lui importe peu. Tout ce qu’elle veut, c’est éviter cet engin conçu pour le plaisir mais qui lui cause pour le moment tant de tourments.
    
    — Tu aurais dû, tu sais… Parce que moi, je ne sais plus si nous sommes arrivées à cent ou seulement à quatre-vingts.
    
    Tout en se tournant vers moi, elle a un regard faussement sadique.
    
    — À cent, je la laisse jouir. Mais à quatre-vingts, je vais encore la laisser sur le carreau.
    
    Le regard implorant de Patricia en dit bien plus que tous les discours du monde. Elle veut jouir, jouir à tout prix, et plus rien n’a d’importance. Par contre, la perspective de rester encore une fois en rade sur le chemin de l’orgasme la terrifie. J’interviens :
    
    — Laissez-la se libérer, Marie-Charlotte. Je crois qu’elle l’a bien mérité…
    — Comme vous voudrez, répond-elle, malicieuse.
    
    Tenant toujours son terrible instrument en main, elle se plaque alors tout contre Patricia qui n’a d’autre choix que de reculer jusqu’à l’extrême limite de ses chaînes. Là, fermement immobilisée, sa tortionnaire de charme lui colle l’engin entre les jambes alors qu’il lui est désormais impossible de s’y soustraire… Va-t-elle encore rester en plan ?
    
    Seulement, pour Patricia, les choses ne sont pas aussi simples. Après avoir été plusieurs fois à deux doigts de l’orgasme, après s’être efforcée de ...
    ... l’éviter par la suite, il lui est maintenant difficile de se libérer suffisamment l’esprit pour y parvenir. Physiquement bien sûr, ce genre de jeu, indépendamment du martinet, est épuisant. Mais le pire est moralement puisqu’à aucun moment elle ne peut être certaine de ne pas encore une fois devoir se la mettre sur l’oreille…
    
    Ce n’est qu’après de longues minutes de sollicitations que les premiers soupirs parviennent jusqu’à mes oreilles mais, à ma grande surprise, ils ne proviennent pas que de Patricia. En effet, Marie-Charlotte a profité de la situation pour coller son propre pubis sur celui de sa victime, et le vibrateur est donc en train de remplir son office sur deux clitoris au lieu d’un seul. Et, de ce que j’en entends, leur jouissance est proche, toute proche…
    
    Si le cri de libération de Marie-Charlotte fait trembler les murs, celui de Patricia pourrait bien les lézarder. Et cette longue plainte ne cesse pas ; tout son corps est tétanisé, elle tremble de tous ses membres. Cela dure, dure, dure de longues secondes, sans que rien ni personne ne puisse l’arrêter…
    
    Totalement à bout de souffle, Patricia s’écroule enfin, sans que son corps ne cesse totalement d’être toujours secoué par les vagues du plaisir. Je m’avance pour la détacher ; elle s’effondre dans mes bras. Juste à côté de cette fameuse salle de torture, il y a une chambre et un lit dans lequel je dépose Patricia. Elle a le regard ravi et épuisé de l’athlète qui vient de s’écrouler en arrivant première sur la ...
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