1. L'amnésique (adoucit les mœurs)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: f, fh, ff, fbi, frousses, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral pénétratio, attache, fouetfesse, délire, Humour policier, aventure, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... puisqu’il en est ainsi, allons-y gaiement ! Ramonage et pilonnage sont les deux mamelles de la France…
    
    Un feu d’artifice…« Elle en voulait, Marie-Charlotte ? Eh bien, elle va en avoir ! » Je ne sais pas depuis combien d’années je n’ai pas fait l’amour avec une telle hargne. La voiture en tremble ; il me semble même qu’elle est en train de reculer, tant mes coups de boutoir seraient capables d’assommer un bœuf. Malgré la sueur qui coule désormais dans mes yeux, je peux toutefois apercevoir du coin de l’œil nos deux gugusses toujours en observation… Et apparemment, ils apprécient ! Enfin, sans doute pas autant que Marie-Charlotte qui, les ongles plantés dans l’épaisseur du cuir, s’efforce de ne pas lâcher prise tout en rugissant de plaisir. Naturellement, ce petit jeu ne peut pas durer très longtemps, et c’est après un ultime coup de reins dévastateur que j’éjacule un demi-litre de foutre tout au fond de ma partenaire. De son côté, elle en profite pour pousser un énième hurlement capable cette fois de faire s’écrouler la vieille grange tout au bout du chemin.
    
    —ooo0ooo—
    
    Quelques minutes plus tard, l’orage s’étant enfin calmé, c’est après avoir recapoté que nous reprenons notre route.
    
    — Bon, pour le personnel du manoir, il vaudrait mieux qu’à partir de cet instant vous vous prénommiez Claude et que je sois votre épouse, Marie-Charlotte…
    — Et si je n’accepte pas votre marché, vous leur direz quoi ?
    — Ce serait fâcheux, mais nous verrons bien. Depuis ce matin, ...
    ... j’improvise. Alors, vous savez…
    — Bon, admettons. Et après ?
    — Et après, sachez simplement que nous nous sommes toujours vouvoyés, même dans les moments intimes. Cela nous facilitera la tâche à tous les deux, indiscutablement.
    — Comme vous voudrez, ma chère, souris-je.
    
    Elle pouffe, avant de redevenir sérieuse.
    
    — Et sinon, si j’avais encore le moindre doute, vous n’êtes décidément pas mon mari.
    — Ah bon, pourquoi ?
    — Parce que pour descendre à la cave, il ne fallait pas compter sur lui… C’était un être charmant, mais pas vraiment un gentleman au lit.
    — En attendant, si je puis me permettre, je vous rappelle que vous venez de coucher avec un type que vous ne connaissez pas depuis une heure. Peut-être avait-il de bonnes raisons de disparaître, le vrai monsieur Dubreuil…
    
    Souvent, il suffit de titiller les gens pour en apprendre beaucoup sur eux. J’espère que cela fonctionnera.
    
    — Écoutez-moi bien, Monsieur je ne sais comment : aussi surprenant que cela puisse vous paraître, j’aimais mon mari…
    — Vous venez de dire « j’aimais » : vous voulez dire qu’il n’est plus de ce monde ?
    — Figurez-vous que je n’en sais rien, et que c’est bien le problème. En attendant, je disais donc qu’aussi extravagant que cela puisse vous paraître, j’aimais mon mari ; mais cela ne sous-entendait pas que je lui étais toujours fidèle. Lui non plus d’ailleurs, mais c’est une autre histoire.
    
    Soit ma conductrice est sincère, soit elle est une bonne comédienne.
    
    — Et figurez-vous que c’est aussi ...
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