1. La maman dévergondée, 12° partie


    Datte: 21/09/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Anal Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... elle m’a donné le jour presque dix-neuf ans plus tôt. La face antérieure est particulièrement sensible, surtout lorsque la dame a omis de passer par les toilettes et que l’envie d’uriner amplifie ses sensations. Le point G est à portée de qui veut l’explorer, avec en perspective la jouissance absolue des femmes qui ne craignent pas d’aller jusqu’au bout de leurs sensations. Ma mère en faisait bien-sûr partie. Ses cris de joie ont toujours un chant de grâce qui me ravissait.
    
    La suite a été humide comme une pluie d’orage à la fin d’une journée de canicule. La femme fontaine que je tenais câlinement entre mes mains s’exprimait à pleines orgues lorsque je retirais mes doigts, pour les introduire à nouveau, et ainsi de suite, dans une succession de giclettes qui n’ont commencé à diminuer d’intensité qu’au bout de la dixième. La mouille parfumée s’est mélangée à la pâte à gâteau que j’ai présentée devant elle. Ensemble, nous avons tourné la spatule pour finaliser notre dessert, avant de le faire cuire au four – dix minutes, pas plus !
    
    – Mmh, ai-je dit, le jus de ta chatte est le meilleur ingrédient qui soit, ai-je avoué en me léchant les doigts pour ne pas perdre une seule goutte de ce précieux nectar.
    
    – Si tu aimes ma cyprine, mon chéri, tu en auras autant que veux. Et maintenant, tu veux baiser directement ? Ou tu préfères que je fasse une pipe, pour commencer ? Si tu veux, je te fais une gorge profonde et j’avale tout ton foutre,
    
    tout en te massant la prostate : ...
    ... j’adore te pomper, tu le sais bien.
    
    Oui, je le savais bien. Pour toute réponse, je me suis enfoncé dans sa gaine chaude et profonde, et aussi remarquablement étroite pour une femme de son âge qui a passé sa vie à forniquer à droite et à gauche. Elle savait se servir de ses muscles pelviens pour contracter ses parois vaginales, et aspirer mon chibre jusqu’à le retenir prisonnier.
    
    La fenêtre était restée ouverte en grand. Les oiseaux chantaient ; nous étions heureux. Certes, nous habitions un rez-de-chaussée donnant sur la rue, de sorte que les gens pouvaient nous voir, et les voyeurs ne se gênaient pas. Cela ne nous dérangeait pas.
    
    A ce moment-là, elle a chuchoté à mon oreille :
    
    – Mon chéri, mon amour, il faut que je te parle d’un projet qui me tient à cœur depuis longtemps déjà… ne me gronde pas… promets-moi.
    
    Intrigué, vaguement inquiet, je l’ai rassurée : elle pouvait tout me dire. Elle a aval sa salive, et dit :
    
    – Voilà : je voudrais t’épouser.
    
    – M’épouser ! Mais c’est illégal entre une mère et son fils : aucun maire, aucun curé ne voudra célébrer ce mariage. De plus, je te rappelle qu’officiellement, tu n’es toujours divorcée d’avec Papa.
    
    – Si, je connais un prêtre qui accepte de le faire. C’est en dehors des règles établies, d’accord. Mais lui est un peu spécial. Et puis… regarde !
    
    Elle a sorti une petite boite de la poche de sa robe. J’ai ouvert : une chevalière superbe, en or, gravée avec mes initiales.
    
    – Merci, Maman ! Mais tu as dû te ruiner ...