1. La maman dévergondée, 12° partie


    Datte: 21/09/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Anal Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... Le légume était enduit de la liqueur du sexe maternel : le parfum d’une reine. Un peu déformé par le séjour vaginal, mais délicieux. J’en ai fait mon petit déjeuner et il n’en est pas resté. Puis j’ai claqué fermement les deux fesses qu’elle me tendait avec complaisance, l’une après l’autre, pas trop fort quand même, mais au rythme de la chanson « de Nantes à Montaigu » que je chantonnais, et dont elle a repris le refrain avec moi. Je crois que jamais mère et fils n’ont été aussi complices dans la lubricité. À la fin, son cul était chaud et tout rouge : on aurait presque pu y poser la poêle à crêpes pour les faire cuire.
    
    Sous mon pantalon de pyjama, je bandais diablement. Il me fallait passer à des actions plus viriles, alors j’ai commencé par sucer le petit orifice qui n’était pas très propre, ce qui ne me repoussait pas du tout, puis je l’ai enculée en douceur. En sentant mon gland franchir son petit anneau, Maman a poussé un ah ! de soulagement, puis un oh ! de volupté quand je suis arrivé au maximum de la pénétration. Toute ma vie, j’ai adoré la chaleur douce qui règne dans un rectum de femme, et ma mère, qui m’a initié à cette tendre pratique, était la plus torride des partenaires. D’autant qu’elle aimait terriblement que je la fouille de cette manière, bien à fond, tandis qu’elle s’appuyait sur le rebord du plan de travail, penchée en avant.
    
    Aucun de nous n’avait hâte que je lâche ma purée ; je me retenais autant qu’il était possible. Mais quand son orgasme a ...
    ... explosé, j’étais trop excité pour faire durer plus longtemps cette sodomie, et j’ai farci le croupion maternel d’une giclée bien copieuse qui débordait du trou pour dégouliner sur ses cuisses, pendant qu’elle gémissait sur l’air de ma chanson paillarde. Puis, ravie d’avoir été aussi bien sautée, elle a fait sauter ses crêpes, et nous nous sommes régalés.
    
    Le lendemain, à la même heure, nous avons recommencé le même manège, mais c’était en face d’une pâte à fondant au chocolat qu’elle savait confectionner mi-cuit, ce qui était un délice pour mes papilles, cependant moins que sa chatte toute buissonnante aux poils poivre et sel. Miam ! Avec elle, je n’avais de cesse de me perfectionner dans l’art délicat du cunnilinctus, et ce matin-là, je me sentais l’âme d’un virtuose de la langue fourrageant dans les replis intimes. Dans le domaine du bucco-génital féminin, les rustres se jettent goulument sur le clitoris qu’ils maltraitent comme des soudards ivres, alors qu’il faut se comporter en gourmet patient, balayer tendrement les grandes lèvres, aspirer les deux nymphes avec gourmandise, visiter le mont-de-Vénus en haut, le périnée en bas, errer à l’entrée du vagin avant finalement, mais seulement à la fin, titiller comme un artiste peintre avec la pointe de son pinceau le saint des saints génital, le sortir délicatement de son fourreau, le célébrer, le chanter, le louer, l’adorer à genoux comme un tout petit dieu vivant !
    
    Ensuite, j’ai inséré deux doigts dans l’orifice par lequel ...