1. La maman dévergondée, 12° partie


    Datte: 21/09/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Anal Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Dans mois qui ont suivi, notre vie à deux, Maman et moi, s’est poursuivie dans une profusion câline de libertinages. Nous étions comme des amants ordinaires, avec une différence d’âge, et qui nous aurait vus sans nous connaître ne nous aurait jamais crus mère et fils. Et pourtant !
    
    Un samedi matin de printemps, je me suis levé vers onze heures, les yeux encore lourds de ma nuit de fête avec des potes de fac. En arrivant en pyjama dans la cuisine, j’ai vu Maman affairée devant le plan de travail, en train de fouetter de la pâte à crêpes dans un grand saladier. Connaissant ma gourmandise, ma cordon bleu de mère n’avait de cesse de me régaler de bons petits plats et de desserts variés.
    
    Je me suis approché sans bruit, pour la surprendre. Comme souvent, elle était vêtue d’une grande robe à fleurs nouée à la taille par un ceinturon. J’ai soulevé un pan du tissu pour découvrir sa culotte noire que j’ai abaissée d’un coup, découvrant sa superbe croupe blanche aux deux globes presque sphériques. Elle a sursauté, mais sans se retourner, elle a poursuivi son travail culinaire. Il faut dire qu’elle était habituée à mes coquineries très impudiques, car avec elle, je pouvais tout me permettre. Je lui ai dit qu’elle avait le plus beau cul du monde, et pas seulement pour lui faire plaisir, car je pensais réellement que, question popotin, pas une seule fille ne pouvait rivaliser avec elle.
    
    En guise de préliminaires, j’ai glissé mon index dans le sillon fessier, en m’arrêtant à la ...
    ... rosette pour en masser les contours. Sans rien dire, elle se cambrait autant qu'elle le pouvait, invitation à poursuivre le geste, et à aller plus loin. Elle murmurait, la tête basculée en arrière, les yeux fermés :
    
    – Vas-y, vas-y, enfonce ton doigt bien au fond !
    
    Elle a écarté ses fesses à deux mains, le plus largement possible, afin de m’encourager à introduire mes phalanges dans les profondeurs du puits anal. En d’autres occasions, il m’est arrivé de me servir d’un spéculum pour ouvrir largement le trou, en contempler l’intérieur, et parfois y introduire différents objets. Mais ce jour-là, elle avait beau me supplier, je me contentais de tourner autour du pot, pour faire durer le plaisir de l’attente, enchanté par ces parfums puissants de sous-bois humides qui se répandaient dans la cuisine. Puis je me suis aperçu que le concombre posé près d’elle avait un bizarre aspect brillant. Je l’ai pris dans mes mains : il était tout enduit de cyprine ! J’ai murmuré à son oreille :
    
    – Coquine ! Alors comme ça, tu joues avec la nourriture, avec tous ces gens qui meurent de faim dans le monde ! Parce que tu te l’es fourré dans la chatte, avoue ou je te donne une fessée !
    
    – Oh, oui ! Une bonne fessée, c’est tout je ce que je mérite, parce que je suis une méchante maman.
    
    D’abord, j’ai croqué dans la cucurbitacée qui avait un diamètre dont peu d’hommes peuvent se vanter, sauf peut-être mon ami John, dont j’ai déjà évoqué la membrure exceptionnelle dans un précédent chapitre. ...
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