1. Relation interdite (1)


    Datte: 19/09/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... assis.
    
    — Oh mon grand, je suis désolée. Mon amour, ne sois pas triste. Dis-toi que tu as toute la vie pour te trouver une gentille femme.
    
    — Des femmes ! Je n’en veux qu’une. Il n’y en a qu’une que je veux rendre heureuse. Elle est là, devant moi. Elle ignore ce que j’éprouve devant elle, devant ses pieds nus, devant son visage si jeune, si merveilleux quand il me sourit. Tu n’as pas idée de ce que je peux réellement ressentir. Si elle voulait me comprendre. Je ne lui demande pas de m’aimer, non, juste un peu plus de tendresse de temps à autre. La même tendresse qu’elle me donnait quand elle était triste comme moi. Celle que je lui donnais dans ses moments de cafard. Maman, je suis fou de toi à un point que je ne sais plus que te dire pour te faire comprendre mon amour.
    
    Ma mère, secouée jusqu’au plus profond de ses entrailles, ne sait comment réagir. Moi, penaud, je me redresse et grimpe, pas à pas, lentement, l’escalier. En haut, maman m’appelle, je ne m’arrête pas.
    
    — Mon amour, attends !
    
    Elle a cru que je jouais à un jeu. Elle vient de se rendre compte combien j’étais sincère. Je suis sur mon lit, assis, je regarde le sol. Elle arrive, sublime dans sa robe rouge, sublime dans ses talons hauts ouverts. Je peux voir ses pieds superbes. Devant ses pieds aux ongles vernis d’un rouge semblable à sa robe, je ne peux que craquer. Je tombe à ses pieds, je me mets à les embrasser tendrement. Maman tente bien de me repousser. Mais elle met trop peu de force pour y ...
    ... parvenir. Aussi, d’une main, je la pousse et elle tombe sur mon lit, assise. Dès cet instant, elle ne pourra plus me repousser.
    
    Je saisis sa jambe droite, la redresse, la tends. Je me mets à l’embrasser tendrement. Parfois, je frotte ma joue dessus avant de continuer. Parvenu à la hauteur de ses si belles cuisses, maman tente une fois de plus de me repousser. C’est peine perdue, sa force n’est de loin pas assez puissante. C’est à se demander si elle ne le fait pas volontairement. Quand ma bouche effleure sa petite culotte, je sens son corps frémir de toute part, comme dans la boutique. Cette fois, je sens ses mains appuyer sur ma tête.
    
    — Maman, laisse-moi t’aimer, je t’en supplie.
    
    Elle ne répond rien. Si ce n’est un long soupir. Comme ma petite amie, elle soupire longuement. Je sais faire la différence entre un soupir de bonheur ou celui d’un désabusement total. Celui que j’entends, c’est du bonheur. Je compte bien lui en donner au-delà de la raison. De ma bouche, je cherche à retirer ce bout de tissu qui me barre son sexe. Une fois parvenu à mes fins, je dévore ce sexe avec amour. Il est déjà très humide. Plus je le lèche, plus le corps auquel il appartient se met à onduler de bonheur. Je sens même cet orgasme qui grandit dans ce corps si jeune encore. Je me mets à défaire sa robe. Une fois ouverte, mes mains se posent sur ses seins globuleux. Je la sens vibrer. J’entends ses gémissements. Et puis, j’arrête tout. Je me lève. Je sors de la chambre. Je laisse maman en ...