Relation interdite (1)
Datte: 19/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... vous avez un corps splendide. Votre mari peut être fier de vos magnifiques formes.
— Oh ça, il l’est, ce vilain garnement.
La robe retirée, la vendeuse nous informe en avoir pour une dizaine de minutes, tout au plus.
— Tu cherches quoi avec ton bisou dans mon cou ?
— À te faire comprendre que tu es une femme immensément belle.
— Mouais, mais ne recommence pas tes bisous, j’ai eu des frissons.
— Oooh ! Est-ce que je dois comprendre ? Que je t’ai fait du bien, ma petite maman.
— Je ne dis pas ça, c’est juste que j’ai eu des frissons, un point c’est tout.
La vendeuse est revenue, la robe tombe comme un voile sur le corps magnifique de maman. Toutes ses sublimes formes sont mises en avant sous ce tissu. Je m’approche, je tente un coup de poker. J’enlace ma mère, ma bouche sur la sienne. Folie ou idiotie, sa bouche répond à mon doux baiser. Ses mains viennent caresser mon dos. Je bande de savoir ma mère ne pas me refuser ce moment de pure tendresse. Je relâche mon étreinte. Maman veut retirer la robe, je refuse tout net.
— Mademoiselle, auriez-vous, en 36, une paire de talons hauts ?
— Oui, tout à fait. Quelle hauteur pour les talons ?
— À votre avis ?
— Vu votre différence de grandeur, je verrais bien huit ou dix centimètres de talon.
— Va pour dix alors.
— Je reviens... fermées ou ouvertes, les chaussures.
— Ouvertes, ses pieds sont si jolis, ce serait gâcher que de les enfermer.
— Monsieur a bon goût, j’arrive de suite. Oh, ...
... métallique, les talons ?
— Si vous avez, oui.
— Mais à quel jeu tu joues ?
— À celui d’un jeune homme éperdument amoureux d’une femme sublime.
— Parce que...
— C’est-à-dire que... ben oui, je t’aime de tout mon cœur, de toutes mes tripes. Voilà, comme ça, ben tu sais ce que ton gosse ressent devant la plus belle femme du monde.
— Ben mazette, tu cachais bien ton jeu.
— Un jeu cruel s’il en est.
Je suis tombé sur cette chaise, dépité et presque honteux, à mon tour, d’avoir avoué mes sentiments profonds à ma mère. Oui je l’aime. Je sais, c’est complètement déraisonnable pour un presque adulte. Mais merde, elle est réellement belle. Je suis même jaloux quand un mec pose son regard vicieux sur son corps.
— Voilà, Monsieur, en 36, nous avons ces trois modèles ouverts.
— Mon amour, laquelle de ces trois paires te ferait plaisir ? Perso, je prendrais les trois.
— Celle du milieu, me dit maman, d’une voix exquisément douce.
— Tu veux bien les essayer toutes les trois.
— Oui mon grand.
"Oui mon grand", maman semble avoir changé d’opinion à la regarder. Avec chaque paire, elle fait quelques pas. Punaise, je bande à me faire péter le pantalon. Aussi, c’est décidé, je prends tout. Maman veut remettre ses baskets.
— Non, ma douce, on rentre comme tu es. Tu verras, pas un homme ne pourra s’empêcher de t’admirer. Même les femmes seront jalouses de toi.
— Votre mari a cent fois raison, vous savez.
Je regarde la vendeuse. Elle me fixe. Elle rougit. ...