Relation interdite (1)
Datte: 19/09/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... J’ai compris qui elle est en elle.
— Et vous, seriez-vous réellement jalouse ou seriez-vous envieuse, Mademoiselle ?
— Moi, c’est-à-dire que.
— Non, soyez franche, nous sommes seuls tous les trois.
— Eh bien, votre femme, j’ai envie de... de... l’aimer.
— Et mon mari ?
— Il est bel homme, mais d’une allure un peu jeune pour moi.
— Pourtant, il est capable de vous rendre folle quand il vous aime, vous savez.
— Il me semble aussi bien fait et bien mont... enfin vous me comprenez.
— Que trop bien. Tu vois mon amour, toi qui avais peur de ne pas plaire, cette superbe vendeuse te désire. Bien, combien vous dois-je ?
— Hein ? Oh oui, pardon, suivez-moi, je vous fais votre compte. Si je peux, vous formez réellement un couple magnifique.
— Merci, vous êtes aussi très belle. Surtout, ne doutez jamais de votre immense beauté. Que je lui rétorque de but en blanc.
Je paye et nous quittons ce magasin. À peine dehors, maman lâche presque brutalement ma main. Si elle ne fait aucun esclandre, j’ai bien senti qu’une fois à la maison, j’aillais en prendre plein la poire. Dans le bus, elle ne cesse de me fixer avec son regard des mauvais jours.
À peine la porte fermée, sa main se pose sur mon cou. Maman me plaque contre le mur du corridor. Son regard, je le connais depuis que je suis tout gosse. Pendant un long moment, elle me fixe. Je n’ose bouger, c’est maman, je lui dois le respect. Je vois son visage s’approcher du mien. Je crois bien que mes ...
... oreilles vont déguster.
— Toi, jamais plus tu recommences !
Sa main droite me gifle. Ce n’est pourtant pas le genre de gifle à laquelle je m’attendais. Non, c’est même une caresse. Elle tombe à genoux, son visage dans ses douces mains.
— Tu m’as rendue folle d’excitation. Oh, mon fils, j’ai honte, si tu savais.
— Parce que j’ai dit que tu étais la plus belle au monde ? Non, s’il te plaît, ne pleure pas, mon amour, ma chérie.
— Oui et parce que tu m’as avoué le fond de ton cœur. Et puis, il y a ton... ton baiser quoi. Il était si passionné, tellement... amoureux.
— Parce qu’il était comme mon cœur, maman, sincère.
— Mais merde, je suis ta mère, ne l’oublies pas. Tu es la chair de ma chair, dit-elle presque horrifiée à l’unique pensée que nous fassions l’amour.
— Et alors, un fils peut aussi avoir des sentiments autres envers sa mère, de ceux qui dépassent l’amour d’un fils pour sa maman que je sache. Oh et puis merde quoi. Je t’aime, tu vois ça, j’aime ma mère comme j’aimerais cette vendeuse de la boutique. Je l’aime d’un amour qui me torture à chaque fois que tu te promènes devant moi. Je te trouve tellement sexy. Je te trouve tellement belle que tu n’arrives pas à comprendre que près de toi, je ne me sens plus ton fils, que je ne te vois plus comme ma maman, la merveilleuse femme qui m’a mis au monde l’année de ses quinze ans.
Je me dirige vers ma chambre, désabusé, le cœur brisé par cette colère chez ma maman. Devant l’escalier, en pleurs, je me suis ...