Aparté
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
hh,
hplusag,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
hdanus,
Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe
... dextre ne restait pas inactive. Approfondissant la connaissance qu’elle avait déjà de son admirable cul, elle s’était introduite dans sa raie et, fort naturellement, un doigt entreprenant appuyait contre une rosette contractée.
Ma jeune amante, stimulée par mon changement de tactique, aussi sans doute par l’espace libéré par ce changement, saisit franchement ma tige qu’il branla dans le tempo « lento » que je lui dictai par mes pincements sur son sein. Alors que mon doigt forçait son anus récalcitrant, une âcre odeur de brûlé me prit la gorge. D’accord, il me masturbait allègrement. Les frottements générés ne pouvaient expliquer… Je me relevai brutalement.
— Putain, les côtelettes…
Tout à nos ébats, je les avais complètement oubliées. Je me levai précipitamment. Je faillis prendre un aller simple pour une rencontre au sommet avec les dalles. J’avais oublié mon canoce. Je m’en débarrassai. Quand j’arrivai à la cuisine, je trouvai un spectacle débandant. Y’avait pas que les côtelettes ! Les haricots, aussi, avaient cramé. Quant à la viande, plus une goutte de jus, complètement carbonisée. Les fonds de poêle, tout un poème. Après avoir fermé le gaz, je vidai leur contenu directement dans la poubelle et les jetai rageusement dans l’évier. J’étais maudit.
J’en aurais pleuré. Non seulement, y’avait plus rien à manger mais, et surtout, l’enchantement était brisé. J. C. allait sans doute se reprendre. Exaspéré, j’expédiai un violent coup de poing dans la porte du ...
... réfrigérateur. La douleur n’apaisa en rien la colère.
Alors que j’allais réitérer, deux mains se posèrent sur mon ventre, un menton au creux de mon épaule :
— T’affole pas, c’est juste de la bouffe ! J’ai pas faim ! Enfin si, je suis affamé. Mais pas de ce genre de nourriture.
Soulignant son affirmation, sa main (la droite me sembla-t-il) descendit et entreprit de réveiller ma libido. Je prenais vraiment de mauvaises habitudes. À la première sollicitation, Popaul se redressa.
— Viens !
Me tenant par la bite, il m’entraîna en direction de sa chambre. Une fois dans la pièce, il me manœuvra jusqu’à ce que je me retrouve dos à son lit. Lâchant alors mon sexe, il plaqua ses mains contre ma poitrine. Une poussée affectueuse me coucha sur le matelas, jambes pendantes et sexe bandant.
Avant que je ne fasse quoique ce soit, il embrassait, léchait mes pieds. Sa langue, ses lèvres entamaient une lente escalade. Les chevilles, les mollets, le creux des genoux. Au fur et mesure de sa progression, la tension de mon sexe s’aggravait. Une seule exigence : sa bouche sur ma queue. Frustration de l’attente. J’ouvris plus largement mes jambes pour lui faciliter l’accès. Mon inexpérience, ma timidité. Je n’osais pas le brusquer. Du bout des doigts, je parvins à atteindre ses cheveux.
Sursaut. Gémissement. Ses lèvres se posaient sur mes bourses, les mordillaient. Je gesticulai espérant lui faire ainsi comprendre que j’attendais autre chose. Message reçu. Il emboucha délicatement ma ...