1. Educatrices Ch. 07


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... nues, les commentaires graveleux des moutards, leur souffle chaud entre les fesses, puis les mains frileuses qui ne tardèrent pas à estimer les charmes de chacune, tout enfiévrait les trois femmes.
    
    Elles sentaient leurs fentes s'humidifier, se poisser de cyprine, la chatte parcourut de petites décharges électriques, le ventre agité d'une houle prometteuse l'une après l'autre, elles commencèrent à onduler du cul, invitant ainsi clairement leurs suborneurs à prendre possession de leurs chairs.
    
    Ils les laissèrent quelque temps, roulant des fesses, crispant et décris-pant leurs anus, la fente juteuse, attendant qu'elles réclament leurs ros-tres, enfin, la voix chavirée, Françoise la première feula :
    
    -Prenez moi... Mettez moi... J'en peux plus... Il me faut une queue... Par pitié...
    
    Ses voisines surenchérirent :
    
    -Oui... Ne nous faites plus attendre... On a envie... Vos queues...
    
    Au bord de l'éclatement, ils approchèrent leurs mats dressés des globes charnus, d'un même mouvement, d'un geste avide elles agrippèrent leurs fesses à deux mains et s'ouvrirent au maximum.
    
    Avec lenteur les glorieuse flamberges, plongèrent d'abord au cœur des vagins détrempés, le temps de s'humecter la hampe, puis posant simul-tanément leurs glands mafflus sur les oeillets impatients, frémissants de désir avec un synchronisme parfait ils les emboutirent jusqu'à la garde .
    
    Ils les limèrent longtemps, changeant fréquemment d'orifice, tantôt dans les culs éclatés, tantôt dans les ...
    ... chattes dilatées, changeant de partenai-res au gré des envies.
    
    Elles n'étaient plus que des boules de nerf hurlantes, secouées par les assauts successifs, les intromissions violentes, elles criaient à pleines gorge leurs orgasmes alors qu'ils crachaient leur jus au hasard des mor-taises occupées .
    
    Ils passèrent la nuit à les limer dans toutes les positions, s'encourageant de la voix, du regard, enfin au petit matin, le corps las, les acculs vidés ils s'endormirent blottis contres leurs flancs. Au lever, tardif, elles arboraient les mêmes cernes que leur amie, qui elle avait pourtant comblé la bestialité des trois aînés mis en rut par le ta-page qui s'élevait dans la chambre contiguë.
    
    Toute la nuit, toujours embrochée par ses trois trous elle avait satisfait avec vaillance la lubricité des trois jeunes mâles qui la pliaient à tous leurs désirs.
    
    Le dimanche, intégralement nues, elles contentèrent encore de la bou-che et de leurs trous les six jeunes, offrant aux trois cadets un volume supérieur de souvenirs, qu'ils ne manqueraient d'évoquer, se secouant durement la pine bien au chaud dans leurs lits de camp.
    
    Le lundi matin sonna l'heure des adieux, sur une dernière pipe baveuse, elles les quittèrent avant l'arrivée des cars qui les emmèneraient vers leurs séjours de vacances.
    
    Les trois aînés qui avaient réussi à dénicher des stages en ville, obtin-rent de résider dans les appartements extérieurs, vidés du fait des camps de leurs habitants habituels, les deux ...
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