1. Educatrices Ch. 07


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... autres femelles, dans la tiédeur de leurs lits, blotties contre le corps chauds de leurs époux parvenaient aux mêmes constats.
    
    Souvent, Le concours qui avait précédé les anniversaires lui revenait en mémoire, se remémorant cette série d'exhibitions malsaines auxquelles elles s'étaient livrées, elle sentait sa motte s'humidifier, rien que d'y pen-ser, elle se sentait fondre.
    
    Sa chatte, à ces rappels, commençait à fourmiller, il lui semblait que mille petits aiguillons lui lardaient les muqueuses, la pression du corps allongé à ses cotés se fit plus précise, son mari conscient de son trouble, convaincu d'en être le générateur cherchait à en profiter.
    
    Depuis quelques semaines, se disait-il, ce n'était pas tous les jours que cela arrivait.
    
    Dolente, perdue dans ses pensées, elle se laissait faire, l'image fantas-mée de ses amants se mêlant intimement à celle de son mari, dans son subconscient, elle ne réalisait pas qui voulait l'aimer.
    
    Elle sentit lentement la queue se déployer.
    
    Dans la moelleuse tiédeur de son entre fesse la bite immobile gonflait lentement, ils restaient tous deux immobiles, savourant l'un comme l'au-tre la trouble montée du désir.
    
    André se colla encore plus à ses fesses, la pression de ses couilles contre son cul s'amplifia, les poils de son pubis lui picotaient la peau ten-dre du sillon culier, sa main s'aventura à la recherche de la pine qu'elle croyait juvénile, ses doigts se refermèrent sur une hampe bandée, elle commença une lente ...
    ... masturbation, appliquant le fut triomphant dans la dépression séparant ses deux globes, puis elle partit reconnaître les couilles poilues.
    
    Des doigts elle démêlait la toison frisée, flattait la peau fripée, cherchait de la main à reconnaître la pine qu'elle cajolait voluptueusement.
    
    Par de légers coups de rein, André avança entre ses fesses, par hasard sa bite se posa sur la corolle déjà entrouverte de l'anus, il sentait le cul de la belle palpiter, s'ouvrir se refermer.
    
    Etonné, surpris, il ne la sentit pas se dérober comme les rares fois où il avait osé cette caresse.
    
    Affolé de désir, il la crut assez émue pour rechercher de nouvelles voies de plaisir, alors qu'en réalité, elle n'avait toujours pas identifié son pré-tendant, se croyant encore à l'I.M.E. elle se laissait aller, l'identité de son fouteur lui importait peu convaincue qu'elle était qu'il s'agissait de Miloud où plus vraisemblablement d'un des jeunots, les dimensions de l'organe qui menaçaient son train arrière plaidant plutôt en faveur de ces der-niers.
    
    Enivré, il sentit la corolle l'aspirer, d'un coup de rein impatient Françoise s'empalait, sur le nœud convoité.
    
    Le gland proéminent franchit aisément le premier obstacle annelé, il s'étonna bien un peu d'une telle aisance, mais sur l'instant n'y prêta pas plus attention, pris comme il l'était dans l'action.
    
    Seul un petit gémissement, de douleur ou de plaisir franchit les lèvres de la belle odalisque, son cul, telle une bouche vorace aspira la ...
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