1. Educatrices Ch. 07


    Datte: 15/09/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    Coulybaca - Texte personnel.
    
    Tous les jeunes participant physiquement à l'action sont âgés de plus de 18 ans.
    
    Chapitre 7 : addiction, détérioration des ménages.
    
    Mai, juin passèrent, Françoise ne voyait pas le temps passer, comme ses collègues elle se pliait sans commentaires superflus et sans révolte à la volonté des jeunes pensionnaires, c'était devenu une routine.
    
    Chaque semaine elle avait, à domicile la visite des garçons qui la pliaient sous eux, gémissante et finalement ravie de leurs assauts , le week-end elle comblait tantôt les désirs, même les plus pervers de son maître, et tantôt de ses amis ou des cadets.
    
    Ce petit monde vivait maintenant en paix, plus de menaces, plus d'insinuations, les aînés avaient définitivement admis les desiderata des cadets, et chaque semaine, une des femelles, à tour de rôle était mise à leur entière disposition, et ils ne se gênaient pas d'en user et abuser.
    
    Mais si la vie coulait harmonieuse, limpide au niveau de l'institution, des jeunes auxquels elle se donnait maintenant corps et âme, il n'en était pas toujours de même à la maison.
    
    Elle supportait maintenant avec peine la proximité de son mari, et le soir, maintes fois elle prétexta une subite migraine pour se dérober à ses étreintes.
    
    Souvent, la nuit, elle se réveillait et tâtant furtivement à ses cotés elle cherchait de la main les jeunes corps épousant ses formes, les brumes du sommeil se dissipant, elle reprenait pied dans la réalité, déçue de ne trouver ...
    ... que son mièvre mari le long de son corps, elle parcourait son-geuse chemin suivi en à peine trois mois.
    
    L'épouse aux désirs refoulés, qui s'accordait quelques intermèdes les-biens pour assouvir sa sensualité n'aurait, alors, jamais pensé se muer en cette bacchante orgiaque qu'elle était devenue.
    
    Le pire dans cette mutation, était le plaisir ignoble que son corps et même son âme y prenaient, son avilissement provoquait en elle honte et jouissance, d'être la proie servile, d'abord des trois aînés, puis depuis maintenant deux mois des six pensionnaires, la conduisait à des péné-trations diaboliques qu'elle n'aurait jamais imaginées.
    
    Ils la rabaissaient au niveau d'un morceau de viande doté de trois trous, ses seuls trois orifices leur importaient, ils en usaient et en abusaient à volonté.
    
    Et elle était bien obligée de s'avouer que cette totale soumission lui four-nissait tant d'orgasmes qu'à l'avenir elle n'imaginait plus pouvoir s'en passer.
    
    Morose elle comprenait que non seulement ils la tenaient par les vidéos mais aussi, et surtout, par son tempérament volcanique, elle se savait prête à tout, même au plus dégradant, du moment qu'ils la fourrent, agi-tant leurs gros pénis dans tous ses trous.
    
    Ses sens, qu'ils avaient si bien éveillés, la maintiendraient désormais dans cet esclavage, elle en était bien consciente.
    
    Elle soupçonnait d'ailleurs, ses compagnes d'être parvenues aux mêmes conclusions, elle ne se trompait pas, car dans les chambres conjugales les ...
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