1. Déjeuner et dessert


    Datte: 13/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Auteur: Cedral, Source: Revebebe

    ... sociétés présentes dans votre immeuble travaillent-elles le week-end ?
    — Pas une seule, répondit-il machinalement sans comprendre immédiatement les raisons de cette insolite question.
    
    Ils ne mirent que trois minutes pour rejoindre l’immeuble de bureaux et son désormais célèbre sixième et dernier étage. L’ascenseur n’avait effectivement pas bougé depuis qu’ils l’avaient emprunté pour descendre une heure auparavant. Ils s’y engouffrèrent et appuyèrent sur la touche du sixième. Jérôme, et lui seul, fut très étonné sept ou huit secondes plus tard de le sentir brutalement s’arrêter entre deux étages. Il n’eut en fait pas le temps de s’inquiéter très longtemps.
    
    — Cher Jérôme, il me semble qu’il est désormais plus que temps de prendre ce dessert que vous attendiez, et bien entendu, de me le faire partager. Mettez-vous donc en position, à genoux, et soyez-moi reconnaissant d’avoir voulu vous simplifier la tâche. Figurez-vous que c’est aussi dans cette perspective que j’avais choisi de ne pas mettre de culotte. Allez-y, avec gourmandise. Je redémarrerai l’ascenseur quand j’estimerai que le dessert sera terminé.
    
    Elle releva elle-même sa jupe, écarta les jambes et lui présenta sa toison. « Pour action » aurait-elle dit avec autorité à un de ses collaborateurs.
    
    Il s’acquitta avec entrain et savoir-faire de la première partie de cette douce mission en léchant et léchant de nouveau la toison de la dame. Il eut la confirmation – il n’en était nul besoin – que cette toison ...
    ... avait connu tout récemment une intempestive mais goûteuse humidification. Il butina avec sa seule langue poils, pubis, lèvres, clitoris. Il poussa à un moment un peu plus loin. Il sut remonter plusieurs fois pour faire partager régulièrement le goût du dessert par un baiser complet. Avant de s’accroupir de nouveau, bête à son tour. Il passa plusieurs fois des lèvres aux lèvres, déposant sur celles du haut les goûteuses sécrétions intimes de celles du bas.
    
    À l’ascenseur qui reprit sa montée, il comprit que le dessert était terminé et il se releva prestement avec en bouche ce goût dont il était devenu friand.
    
    — C’est vraiment bien, Jérôme, vous léchez remarquablement. Je me demande uniquement si vous n’avez pas depuis peu un cheveu sur la langue.
    
    Sourires des deux amants.
    
    Elle le laissa chercher les clés du bureau et ouvrir la porte avant de l’arrêter sur le seuil au moment précis où il pensait entrer.
    
    — Jérôme ?
    — Oui ?
    — Et pour ma truffe, qu’est-ce qu’on fait ?
    — Oui, oui, Hélène, entrez, je vais m’en occuper.
    — Cher Jérôme, je crains que vous n’ayez pas bien compris. Je souhaite que vous ne franchissiez plus jamais le seuil de cette société, qui est la vôtre, sans penser au moment où vous vous y serez remis en bouche – l’expression est de vous – le goût de ma truffe. Nous sommes au dernier étage et il n’y a personne. Mettez-vous donc au travail, cher ami.
    
    Il y avait bien sûr plusieurs manières de procéder. Elle décida d’imposer la plus simple, et la plus ...
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